1. Des étoiles plein les ...


    Datte: 06/10/2018, Catégories: ff, fhh, asie, fépilée, miroir, fist, Partouze / Groupe humour, québec,

    ... glisse sur le côté. La belle reste allongée sur le ventre et mes paumes partent à la découverte de ce corps sublime. Je palpe cette peau si douce, masse ses dorsaux, dessine de mes doigts chacune de ses vertèbres jusqu’à son coccyx. Je pétris ses fesses callipyges si fermes et rebondies qu’il est difficile d’atteindre sa rosette. Ma bouche succède à mes mains. Je veux toucher, lécher chaque partie de son corps. Mes mains, ma bouche virevoltent, picorent, frôlent, goûtent avec frénésie ce dos, ces fesses, ces jambes qu’elle m’abandonne. D’une langue coquine, je lèche sa raie, la taquine et humidifie son petit trou que j’agace d’un doigt. Se tortillant sous mes cajoleries, elle se retourne. Nous roulons, nous nous cambrons et finalement elle se retrouve sous moi, m’embrassant et frottant sa vulve dégoulinante contre la mienne. Mes mains caressent ses hanches, son ventre plat et musclé, ma bouche s’empare d’un de ses mamelons, l’aspire, le mordille. Elle geint, se laisse aller entre mes mains, s’offre à moi. Je sens sa peau qui frémit à chacun de mes attouchements. Couchée sur elle, un téton emprisonné dans ma bouche, ma main descend sur son ventre vers sa fente. D’un doigt, je tâte la douceur de ses lèvres trempées et j’enfonce deux doigts au fond de son vagin, leur imprimant un mouvement circulaire. Elle se cambre et gémit plus fort. Elle lance son bassin vers ma main comme si elle voulait que j’aille plus loin. Je mets deux doigts de plus et les enfonce aussi profondément ...
    ... que je le peux. Elle se redresse attrape mon poignet, lance son bassin en avant et tente d’enfoncer ma main dans sa fente dégoulinante. Je vois avec stupeur ma main avalée par sa chatte affamée. La finesse de ma main et sa force ont facilité l’intromission. Elle me lâche le poignet, attrape ses tétons et les étire comme une forcenée, jetant son pubis vers mon bras. Je fais coulisser mon poing dans l’antre de la belle, d’abord doucement puis j’accélère de plus en plus avant de me pencher pour saisir entre mes lèvres le clitoris dardé. L’effet est immédiat, de son corps arqué s’échappe un long feulement de jouissance. Je continue à boxer son intimité, léchant et mordillant son bourgeon. Son feulement continu est ponctué de cris violents à chaque fois que mes dents se resserrent autour de sa petite colonne de chair rose. Ma langue et mes dents continuent leur ballet sur son clito palpitant, mon bras accélère son va-et-vient dans son fourreau dégoulinant, elle crie, m’invective dans sa langue maternelle jusqu’au hurlement orgasmique accompagné de puissants jets qui m’inondent le menton et la bouche. Je retire ma main dans un bruit de succion et m’allonge contre elle. Je l’embrasse, mêlant nos salives à son jus intime. Je pose ma tête sur sa poitrine et me blottis dans ses bras ; je la sens frissonner de plaisir pendant de longues minutes avant de m’endormir. Anton et Francis, venus prendre de mes nouvelles, ont jeté un œil dans la chambre où nous étions restées ainsi nues et ...