Tempête de neige
Datte: 07/10/2018,
Catégories:
fh,
cocus,
Collègues / Travail
Oral
préservati,
confession,
occasion,
... choses. Je me redresse un peu afin de pouvoir profiter de ce spectacle. De ma queue qui disparaît et que je crois voir déformer le cou même si je sais que c’est faux. De ce visage souillé, mais au combien vivant. Des narines qui se pincent. Des yeux dont je croise le regard alors que je me dégage. Alors l’intellect vient s’ajouter au physique. L’autorisation part du cerveau : « C’est bon. Tu peux finir ». Quelques petits mouvements. Une vibration. Un frisson. L’impression que tout se rassemble et enfin… — Je viens ! Je viens ! Oui… Oui, ma semence se rue. Anaïs ne peut pas l’ignorer si elle a vraiment déjà pompé une queue jusqu’à sa conclusion. Je coule. Je gicle. Je me vide. J’ai le réflexe de quitter la profondeur de la gorge pour ne pas étouffer ma maîtresse. Les lèvres sont littéralement greffées à la base de mon gland. Quelques secondes et je me retire. Je sais combien c’est difficile pour la femme de rester avec du foutre collé au palais. Je l’aide à se relever. Son visage est dévasté, gras, gluant. Ce n’est pas une innocente qui entrouvre ses lèvres, le temps de me montrer ma liqueur. Elle transpire la perversité. Qu’elle est loin la stagiaire qui se montre si sage, en retrait pendant les cours. C’est encore meilleur. Je me fais l’effet d’un initiateur, d’un découvreur de talent. Dix, quinze années nous séparent. Elle ne doit guère dépasser les vingt-cinq ans. Mais quel potentiel ! Quelle envie de bien faire ! Je prie pour qu’elle trouve d’autres initiateurs si son ...
... compagnon est trop sage. Je m’en approche. Elle me suit du regard. Lorsque je touche ses lèvres, elles sentent mon foutre. Je l’embrasse. Elle s’ouvre. Ma langue qui retrouve la sienne trempe maintenant dans un océan de sperme. Je me retire. Nous nous regardons. Je ne connais rien de plus chaud que cette vision. Voir une femme avaler sa propre liqueur. Et cette femme, cette maîtresse d’un soir, si jeune, si belle, est bien loin des aventurières trop audacieuses. Mais je n’oublie pas qu’elle n’a eu que des prémices de plaisir. Extraire une capote de mon pantalon juste au sol à côté de moi, ne prend que quelques secondes. Déchirer l’enveloppe, sortir l’objet, le tendre à Anaïs, ne dure que le temps d’une respiration. C’est à ce moment qu’elle réalise que je bande toujours. Eh oui, être hypersensible n’a pas que des désavantages. Bien excité, et j’ai tout ce qu’il faut sous les yeux, je peux cracher mon jus et conserver une érection que certains pourraient m’envier. C’est même meilleur pour moi. Je suis un peu moins dur, un peu plus souple et mon mandrin peut maintenant quitter la chaleur de mon ventre sans protester. La vie est remplie de gestes simples dont il ne faut surtout pas se priver. L’expérience sait retenir la leçon et c’est un délice de voir ma maîtresse d’un soir faire dérouler le latex sur ma verge. — Ma chérie, tu es ouverte comme jamais. Ils t’ont bien bourrée, hein. Tu verras le film que j’ai fait. Tu étais magnifique. Coquine… Cochonne… Oui, tortille-toi… C’est ...