La petite robe - Histoires de Sexe

La petite robe

... plaisais dans cet ensemble. Je savais déjà qu’il rejoindrait le short et le t-shirt à la caisse… Je te voyais donc pour ma part de dos et je me mis à contempler d’abord tes pieds puis laissais mon regard remonter doucement sur tes mollets, tes cuisses et tes fesses cachées par cette mini-jupe. Je ne pus alors résister à la tentation de passer mon bras à travers le rideau et vins poser ma main délicatement sur ton postérieur. Je caressai tes fesses à travers la jupe et je descendis sur tes cuisses. Nos regards se croisèrent par l’intermédiaire de la glace. Tu pus lire dans les miens une excitation montante et je pus déchiffrer dans les tiens une gêne mêlée à un sentiment troublant. Tu laissas cependant ma main sur tes cuisses qui remontèrent lentement sous ta jupe, je caressai alors tes fesses nues, portant ce jour-là ton string couleur chair. Tu me dis, sur un ton de désapprobation, mais également troublée : « Chouchou ». Je te souris et continuai à te caresser les fesses, je m’aventurai même à passer un doigt dans ton sillon le long de la couture de ton string. Tu ne pus t’empêcher de pousser un gémissement. Puis soudain, je tirai ton string vers le bas pour te l’ôter. Tu me demandas ce que je faisais. Je te dis que je voulais le retirer pour que tu restes nue sous tes vêtements. Tu me dis qu’on ne pouvait pas faire ça et je te répondis « Pourquoi pas ? ». Tu hésitas puis me laissas faire, la curiosité de savoir où je voulais en venir étant la plus forte. Tu terminas ton ...

... essayage, et tu te rhabillas. En sortant de la cabine tu avais l’impression que tout le monde pouvait voir que tu ne portais rien dessous. Gênée mais aussi troublée, tu me rejoignis et nous nous dirigeâmes vers les caisses. Nous sortîmes et je te proposai un rafraîchissement. Espiègle, tu me dis que le rafraîchissement se faisait aussi sous ta robe et que tu trouvais cette sensation d’air frais sur ton sexe rasé très agréable, finalement. Nous nous installâmes à la terrasse d’un bar à jus de fruits ; la vue sur le Rhône était magnifique. Nous commandâmes deux cocktails de fruits délicieux ainsi que des glaces. Je profitai de ce moment de détente pour te faire du pied sous la table. Tu me souris, nous étions bien. Je me penchai vers toi et je te dis que je me sentais d’humeur taquine. Tu me répondis que tu t’en étais bien rendu compte et que cela te plaisait. Ta robe était remontée assez haut au-dessus des genoux. Tu me dis que tu étais gênée de te sentir nue sous ta robe et que tu avais l’impression que tout le monde le savait et en relevant la tête tu t’aperçus qu’une personne à la table en face de toi à droite regardait régulièrement tes jambes dévoilées. C’était un homme d’une trentaine d’années, les cheveux bruns, le visage assez carré, les yeux foncés. Ce n’était pas untop model mais il dégageait un charme certain. Il était accompagné par une charmante femme qui devait être, tu le pensais, son épouse. Tu pensais d’abord que ce n’étais qu’un accident mais tu vis que son ...