1. Un copain de fac


    Datte: 08/10/2018, Catégories: hh, photofilm, intermast, Oral hsodo,

    Après les cours, un copain de fac qui s’appelait Ghislain m’avait invité à passer l’après-midi chez lui. Je n’aimais pas trop ce type car il ne me semblait pas toujours très franc du collier. Et puis, il se la pétait pas mal, parce que sa famille était aisée, parce qu’il était pourri-gâté et qu’il avait toujours le matos dernier cri. Mais bon, nul n’est parfait et cela me changeait un peu de la cité universitaire. Et puis, nous devions bosser ensemble. C’était un gars de taille moyenne plutôt bouffi et grassouillet. À vue de nez une bonne centaine de kilos. Ses parents n’étaient pas là, sa sœur non plus d’ailleurs. Nous étions seuls dans la grande maison bourgeoise. Le salon était vaste et plutôt cossu. — Tu aimes les films de cul ? me demanda-t-il après avoir zappé sur toutes les chaînes. Tu en regardes souvent ?— Oui, ça m’arrive de temps en temps, fus-je obligé de reconnaître.— J’en ai un génial où ça partouze dans tous les coins, ça te dit de le regarder ? Il grimpa sur une chaise et attrapa une cassette dans un petit placard au-dessus de la cheminée. — C’est ma planque secrète, le pater ne regarde jamais là dedans. Quant à ma mère, elle est trop petite, trouva-t-il utile de se justifier. Il ne prit pas la peine de rembobiner la cassette, elle devait être environ au milieu du film et l’on voyait une jeune fille en tenue de soubrette sucer un grand brun tout en se faisant ramoner par derrière par un homme aux cheveux grisonnants. — Tu vas voir, ça baise à tout va dans ce ...
    ... château, les patrons, le personnel et même les invités. S’ensuivait une série de gros plans dans lesquels on voyait les va-et-vient d’une bite dans une chatte presque glabre, les va-et-vient d’une autre bite dans la bouche de la belle, le tout parsemé de soupirs de satisfaction et autres gémissements. Un peu plus tard, on découvrait qu’un homme un peu nunuche se tenait près de la porte et que, ne perdant rien du spectacle, il se taillait une petite branlette. Mon copain fit bientôt défiler l’image jusqu’à tomber sur une autre séquence où les deux hommes du début s’enculaient, le plus vieux sodomisait l’autre, tandis que la belle trouvait du réconfort dans les bras du voyeur. J’étais plutôt gêné par cette scène homo, d’autant plus que Ghislain n’en perdait pas une miette et que j’avais la nette impression que ce passage-là l’intéressait particulièrement. L’espace d’un instant, je le vis même se passer la main succinctement sur les couilles. Et cette sodomie qui n’en finissait pas… avec toujours les gros plans à l’appui. — Tu as déjà fait l’amour avec un homme, me demanda soudain mon hôte. À cette question, je préférai répondre par la négative, même si ce n’était pas tout à fait vrai. J’avais déjà eu des rapports homosexuels à l’armée, lorsque j’étais bidasse. Mais personne n’était au courant de ce court épisode de ma vie passée. J’étais tombé très amoureux d’un de mes voisins de chambrée. Notre union avait commencé par une bataille de polochons qui s’était poursuivie en une ...
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