1. Un copain de fac


    Datte: 08/10/2018, Catégories: hh, photofilm, intermast, Oral hsodo,

    ... espèce de corps à corps entre deux lits. C’est à ce moment-là que j’avais éprouvé du désir pour lui et lui aussi pour moi. Je le sentais bander contre ma cuisse et moi aussi j’étais très raide. Nous étions tous les deux très troublés et avons continué à faire semblant de nous battre un long moment, pour donner le change aux autres, mais surtout pour rester collés l’un à l’autre. Une heure plus tard, j’allais le retrouver dans les toilettes où il m’offrait ses fesses. Il avait visiblement l’habitude de se faire enculer alors que pour moi c’était la première fois. Pendant les trois mois qui me restaient à la caserne, nous refîmes l’amour souvent. Il me convertit à la fellation, puis à la sodomie passive. Je dois dire que je pris beaucoup de plaisir à me faire trouer le cul. Par la suite, de retour dans la vie réelle, j’avais préféré oublier ce court intermède et revenir à des amours féminines. C’est quelque chose dont je n’avais pas spécialement honte, j’avais surtout très peur des réactions de mon entourage. — Tu n’as pas envie d’essayer ? me demanda franchement Ghislain. Je ne répondis pas. Mais, comme dit l’autre, qui ne dit mot consent. Nous étions tous les deux assis sur la banquette et il se rapprocha un peu de moi. Sa cuisse touchait la mienne. — Si l’on se tapait une petite branlette ? Et, joignant le geste à la parole, il dégrafa sans hésiter les boutons de sa braguette et sortit un sexe épais un peu gonflé, le gland était encore caché par une peau épaisse mais la ...
    ... grosseur de cette bite était déjà très impressionnante. — Allez, vas-y, ne soit pas timide, sors-la ta queue, dit-il en décalottant la sienne. Je finis par extraire ma bite timidement, elle était moitié moins grosse que la sienne et je crus percevoir un sourire moqueur au coin de ses lèvres. Puis il rembobina la cassette et revint au début de la séquence où les mecs s’enculaient. — Ils m’excitent ces deux pédés, dit-il en posant la main gauche sur ma cuisse tandis qu’avec la droite il se branlait lentement. Il remonta très vite jusqu’à ma queue et s’enfonça dans ma braguette pour saisir mes couilles et les caresser. Puis se tournant vers moi : — J’ai très envie qu’on soit pédés tous les deux. J’ai très envie que tu me suces la bite. Je suis sûr que tu en as envie. Allez, ne sois pas timide, détends-toi et viens me sucer. J’ai regardé son engin. Elle était vraiment très grosse. Pas très longue mais très grosse et grassouillette, à son image. Je me suis penché sur cette bite qui me semblait juteuse et, timidement, je l’ai léchée. Il sentait assez fort mais cela m’a plutôt excité. — Allez, avale, prend-la dans ta bouche ! Pour être plus à l’aise, je suis venu à genoux sur le tapis entre ses cuisses et je l’ai embouché. Cela me faisait vraiment tout drôle d’être ainsi soumis aux pieds de ce colosse alors que mon ancien amant était plutôt un petit gabarit, aussi bien en taille qu’en grosseur de sexe. Mon pote me regardait, apparemment satisfait de mes prestations, tout en continuant ...