1. Black Angel Vs Papillon De Nuit (4)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Lesbienne

    ... main tremblante que je déverrouillai la porte afin de lui ouvrir. Elle était devant moi, toute rouge elle aussi. Nous étions aussi haletantes l’une que l’autre, le regard fiévreux. Après une seconde d’hésitation, délicatement je lui tendis la main tandis que mes yeux étaient plongés dans les siens. Elle la prit avec délicatesse, et je la fis entrer. La porte était doucement refermée tandis que nous nous regardions toujours avec la même intensité en silence pendant un instant tandis que nos mains ne se lâchaient pas. Lentement, elle me les laissaient pour prendre délicatement mon visage entre ses mains et me donner un merveilleux baiser digne des plus beaux contes de fées. Tandis que nous nous embrassions tendrement, elle me souleva sans problème, m’allongea sur mon lit et me déshabilla avec soin, très lentement, comme si elle déballait un paquet cadeau. Une fois que je fus toute nue, elle me contempla un court instant, s’allongea à mes côtés, et sa bouche retrouva la mienne. Mes bras l’enlacèrent tendrement et nous nous embrassâmes dans un concert de soupirs. Elle embrassa, suçotta ou lécha le lobe de mes oreilles, mes joues, mon cou, mon menton, et ses mains partirent à l’aventure pour faire doucement connaissance avec le reste de mon corps. Sa bouche descendit en me couvrant de baisers, ses yeux plongés dans les miens, guettant chacune de mes réactions. Elle prit chacun de mes tétons durcis entre son pouce et son index pour les faire rouler avec une douceur infinie. Sa ...
    ... langue prit le relais pour délicatement dessiner les mamelons sans toucher mes pointes bien dressées et dures comme de la pierre. Lorsque mes mains ont caressé ses cheveux pour l’inviter à continuer ses caresses, elle s’est mise à téter mes petits seins en forme d’œuf au plat comme un bébé, m’arrachant une plainte de satisfaction alors que ma tête basculait lentement en arrière. Elle n’avait jamais eu la moindre expérience avec une femme ? De qui se moquait-elle ? Ses gestes étaient absolument fantastiques : doux, lascifs ; elle ne cherchait pas à aller droit au but, mais faisait tout pour me faire languir. C’était insuportable et génial à la fois. Qu’est-ce qu’elle désirait, à la fin ? Que je la supplie de m’achever ? Si elle tardait encore, ne serait-ce qu’une minute, c’est ce qui risquait d’arriver. Sa bouche descendait toujours plus lentement en direction de ma toison, ses baisers brûlants goûtant avec toujours plus d’attention chaque parcelle de ma peau. Mes cuisses se sont écartées d’elles-mêmes afin de lui offrir l’accès au plaisir saphique ; mes genoux se sont relevés, sans la moindre gêne ou pudeur. Arrivée au moment crucial de ses caresses, elle contempla mon intimité pendant un instant. Sa bouche se rapprochait de mes lèvres gorgées de désir ; mon ventre était en feu, mon clito me faisait mal, mon sang bouillonnait dans mes veines, mon cœur battait à tout rompre. Mes mains attirèrent son visage pour lui communiquer mon impatience. J’étais à fleur de peau. Chaque ...