Black Angel Vs Papillon De Nuit (4) - Histoires de Sexe

Black Angel Vs Papillon De Nuit (4)

... caresse sur mon ventre, mes cuisses, mes seins était d’une délicatesse que je n’aurais jamais imaginée. Sans prévenir, à grands coups de sa langue chaude et humide, elle lappa mon nectar qui s’échappait de ma petite fleur avec une soif à peine dissimulée, m’arrachant un râle de bonheur sorti de ma gorge tout en me faisant me tendre comme un arc. Elle aspirait, léchait, embrassait délicatement mes lèvres, mon petit bouton d’amour, buvait mon nectar intime à la source. J’étais aux anges... Personne ne m’avait procuré autant de plaisir. Je gémissais ou couinais de plus en plus fort, maintenant son visage plaqué sur ma vulve. Ma main libre saisit la sienne ; je sentais mes muscles se contracter, ma tête se vider, et je jouis tumultueusement durant de longues secondes dans sa bouche. Mon Dieu, ce que c’était fort ! Bien plus que dans mon dernier fantasme. Tout mon corps s’était transformé en une gigantesque boule de feu, et lorsque j’ai explosé, j’ai senti tout mon être partir en elle. Elle me buvait encore, se repaissait de mon jus avec toujours plus de délectation afin de terminer ce qu’elle avait commencé, puis revint m’embrasser, la bouche remplie de mon parfum intime légèrement épicé. Après un long baiser passionné, elle quitta le canapé pour se déshabiller. Encore un peu essoufflée, je la regardais se mettre nue, et pus ainsi la détailler. Elle avait un corps svelte et de jolis abdos discrets mais bien dessinés, des jambes fines mais musclées, une toison pubienne bien ...

... taillée, des seins assez volumineux – je dirais un 85 C ou peut être D, à vue de nez – mais bien fermes, des mamelons rosés, des tétons droits et durs : cette fille était vraiment magnifique. Une fois complètement nue, bien qu’elle ait conservé sa montre, elle me sourit de façon malicieuse puis s’allongea à mes côtés et revint m’embrasser en me caressant tendrement les cheveux. Je me sentais un peu déçue de ne pouvoir l’effeuiller, mais l’heure ne devait pas être aux regrets. Pendant que nous nous dévorions de baisers aussi passionnés que gourmands, je lui suçais doucement la langue, et ma main descendit rapidement en direction de sa petite chatte que j’imaginais bien juteuse. Lorsque mes doigts atteignirent leur but, sa respiration s’accéléra et ses gémissements se transformèrent vite en couinements de plaisir. Je caressais doucement mais fermement sa petite perle dardée pendant que je lui suçais doucement les tétons l’un après l’autre. Elle m’enlaça de plus en plus fort. Rapidement, un râle d’extase signifia sa libération, et elle inonda mes doigts de sa délicieuse liqueur. Je décidai alors de plonger ma tête entre ses cuisses. Sa couleur rose pâle la rendait vraiment irrésistible, et je dégustai son abricot du mieux possible. Il est souvent dit, pour une femme qui s’adonne à un cunnilingus, de faire ce qu’elle aimerait qu’on lui fasse ; alors je me suis mise à la manger avec appétit. Tandis qu’une de mes mains lui caressait les seins, avec celle qui était restée libre, pendant ...