1. Sandrine et les trahisons (3)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro

    Le vendredi 28 avril, je monte à La Clusaz avec deux amis, Olivier et Paul. Paul a un chalet dans la station et nous apprécions d’y monter au printemps même s’il s’agit de la saison creuse. La soirée est assez calme, car nous sommes tous les trois bien fatigués, et nous sommes couchés à minuit. Le samedi, nous nous réveillons suffisamment tôt pour aller faire une très jolie randonnée dans les alentours. Nous rentrons fatigués mais ravis en fin de journée. Après une douche bien méritée, nous allons manger au village. Vers 23h, nous allons boire quelques verres dans un bar où nous avons nos habitudes. Celui-ci fait également boite de nuit, le typique établissement d’une station de montagne. Alors que nous entamons notre première tournée, nous apercevons quatre filles qui entrent dans le bar en faisant un boucan pas possible. Trois d’entre elles sont vêtues de manière identique : elles portent une robe grise assez stricte et peu élégante. Elles sont toutes les trois coiffées d’un chignon. La quatrième est en costume d’écolière : des couettes, chemisier blanc noué sous la poitrine, décolleté vertigineux, minijupe plissée écossaise et bas blanc à mi-cuisse. Elles font le tour du bar. Et lorsqu’elles arrivent vers nous, je n’ai plus aucun doute : l’écolière s’appelle Sandrine. Sandrine m’aperçoit et me tombe dessus. — Mais saaaaaaaluuuuut ! Elle est bien éméchée mais pas ivre. Elle me fait la bise puis à mes potes. — J’enterre ma vie de jeune fille avec mes amies ! — Ah bon ? Je ...
    ... pensais que tu t’habillais toujours comme ça en dehors du boulot. Elle rit et me présente ses trois amies : Sabine, amie d’enfance et meilleure amie; Aude, inséparables depuis trois ans; et Marjorie, qu’elle connait depuis dix ans. Les filles déposent leurs sacs à notre table et partent sur la piste de danse. Nous les observons en riant. Une heure plus tard environ, elles reviennent vers nous et si les trois "professeurs" semblent bien fatiguées, il n’en est rien de Sandrine qui m’entraine sur la piste. Après quelques minutes à nous trémousser, nous nous retrouvons à l’autre bout de la piste, à l’opposé de nos amis. Sandrine me prend alors la main et je la suis dans un corridor. Nous tournons puis descendons une volée de marche et atteignons une porte. Les toilettes. — Attends-moi là. Sandrine ouvre la porte des toilettes des dames. Elle me fait signe de venir. Nous nous y engouffrons et entrons dans une cabine. En un instant, Sandrine est agenouillée devant moi et elle me taille une vive pipe en me masturbant en même temps. Je la laisse faire, gérer, elle sait ce qu’elle veut après tout. Elle se relève, sort une capote de son décolleté et me la glisse sur la queue. Elle peine, je l’aide. Elle se tourne, enlève sa culotte et je la pénètre. Je commence mes va-et-viens. Je relève sa jupette, observe puis caresse son magnifique cul. Dur et musclé, je me délecte de la prendre ainsi. Bien que je ne sois pas particulièrement brutal, profond ou rapide, Sandrine me demande de ralentir. ...
«1234»