1. Sandrine et les trahisons (3)


    Datte: 08/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... diminué. Sandrine et cette agréable blonde étaient voisines à la naissance et elles n’ont que 20 jours d’écart. Elles ne se sont jamais quittées. Mêmes écoles, mêmes activités sportives, culturelles, mêmes chemins de vie. Comme Sandrine, Sabine est avec le même partenaire depuis l’âge de 15 ans, mais elle n’a pas de projet de mariage pour l’instant. Conseillère en assurances, elle vit avec son copain depuis l’âge de 18 ans. Lorsque nous revenons dans le bar, Olivier et Paul s’en vont. Je leur dis que je rentrerai à pied. Je danse pendant encore une bonne heure avec Sandrine, alors que ses trois amies ne quittent plus la table. Il est environ 3h30 du matin quand nous quittons le bar. Je m’apprête à rentrer au chalet quand Aude me dit : — Allez, viens avec nous à l’hôtel ! On va s’amuser encore un peu… Sandrine semble maintenant vraiment ivre et je me dis que ce n’est pas avec elle que je vais "m’amuser". J’aurais préféré qu’elles me ramènent au chalet, mais je les accompagne néanmoins à leur hôtel devant lequel Sabine se gare. Aude tombe dans le hall d’entrée et nous rions aux larmes jusqu’aux chambres. Devant celle qu’elle occupe avec Sandrine, Sabine me dit : — Vu l’état de Sandrine, elle va avoir besoin d’aide pour se mettre au lit. Donc, nous avons décidé que tu avais la responsabilité de la coucher. Tu la mets en pyjama, tu lui laves les dents, bref, tu t’en occupes comme un bébé. Tu as 15 minutes. Sandrine ne réagit pas, elle semble absente. Je la prends par le bras et ...
    ... entre dans la chambre. Je repousse la porte du pied et quand celle-ci claque derrière nous, Sandrine se redresse d’un coup, un grand sourire aux lèvres. Elle pose la clé sur le meuble d’entrée : — On a 15 minutes, c’est bien ça ?. Elle m’attire alors sur le lit et déboutonne mon jeans. Elle me suce moins vivement que dans les toilettes mais l’effet est tout aussi agréable. Je lui fais ensuite un long cunnilingus. Son sexe humide sent fort, son goût l’est tout autant. Elle jouit avant de m’attirer entre ses jambes. Sourires, baisers, Sandrine remonte les jambes pour plus de plaisir. Lentement, elle dénoue son chemisier et je découvre enfin sa poitrine que j’embrasse doucement. Sandrine gémit, sourit, elle semble heureuse et c’est un vrai moment de complicité entre nous. Elle me rappelle ensuite que nous n’avons pas beaucoup de temps et j’accélère le mouvement. — Attends… Je me retire, Sandrine se tourne. Je la prends en levrette. Rapidement, elle mord le coussin pour ne pas faire de bruit. Je pilonne son arrière-train jusqu’à prendre un pied fabuleux. Je m’affale à côté d’elle. Essoufflée, elle me regarde avec de grands yeux : — Pourquoi ça n’avait jamais été aussi bon avant ? Elle se lève. En quelques instants, elle se nettoie et se change alors que je me rhabille. Ses amies tapent à la porte : — C’est l’heure ! Pendant que je vais ouvrir, Sandrine prend la pause à la salle de bains, assise sur la baignoire, la brosse à dents dans la bouche. Elle bave. Sabine m’aide à la lever ...