1. L'aventure


    Datte: 08/10/2018, Catégories: fh, inconnu, grossexe, grosseins, fépilée, forêt, Masturbation fdanus, fsodo, fantastiqu, merveille,

    Bigbo n’était pas grand. Personne ne pouvait dire le contraire. On pouvait même dire, sans risquer de se tromper, qu’il était petit. Mais sa taille ne lui avait jamais causé de souci. Elle ne l’empêchait pas d’être un excellent forgeron. Il pourrait dire le meilleur forgeron du village et probablement de la plaine d’émeraude si son humilité n’était pas aussi légendaire que son habileté à manier le marteau. Elle ne l’empêchait pas non plus d’entretenir d’excellentes relations avec les habitants du village. Les femmes arboraient à sa vue un large sourire et bien souvent même un petit rire à peine retenu. Bigbo était très satisfait d’apporter ainsi un peu de bonheur et de joie de vivre autour de lui, c’était une chance ! Les hommes, quant à eux, le saluaient, alors même qu’ils ne l’avaient jamais rencontré lors d’une fête ni été en affaire avec lui. « Bonjour le gnome ! », « Ça va aujourd’hui le gnome ? ». Certes ils faisaient erreur sur sa nature, mais Bigbo savourait l’intention et tolérait bien volontiers l’approximation. En effet, il savait bien que tout le monde ne pouvait avoir lu autant de livres que lui, en particulier ceux qui traitaient des espèces et des races des terres d’Olan. Lui savait bien ce qui le différenciait de façon évidente des gnomes : premièrement ceux-ci avaient un nez à la fois long et pointu, alors que lui non. Son nez était petit et, sans être très fin, n’en était pas pour autant pointu, en aucune façon. Et deuxièmement les gnomes étaient réputés ...
    ... pour la petite taille de leur autre appendice. Or le membre de Bigbo devenait dur comme du bois et s’allongeait de façon très conséquente, d’une manière qui aurait même pu paraître démesurée à un observateur si on la réfère à la taille de l’individu. Et ce, sans qu’aucun mensonge n’intervienne dans le processus, comme on aurait pu s’y attendre. Mais d’une part aucun autre villageois que lui-même n’avait pu le voir, cet appendice, depuis aussi loin qu’il se souvienne, et d’autre part il aurait probablement émis quelques réserves si un villageois lui avait demandé de montrer son organe, même pour les besoins d’une expertise en gnomologie. Il avait bien tenté quelques fois de fournir des arguments à l’attention de l’un ou de l’autre croisés au détour d’une ruelle, mais les bonnes âmes ne lui avaient pas semblé réceptives et il avait décidé de ne plus les embêter avec ça. Après tout, il y avait quand même quelques similitudes et le fait que personne n’ait jamais connu ses parents, pas même lui, ne pouvait que rajouter à l’incertitude. Bigbo aimait son métier. Il aimait voir ces épées naître entre ses mains. Il aimait la chaleur du feu, du métal, ces vapeurs qui par moments le grisaient un peu. Mais par-dessus tout, Bigbo aimait voir la satisfaction dans les yeux de ses clients. Et parfois même peut-être un peu d’admiration. Ce qui faisait de lui un bon forgeron, c’est qu’il savait faire l’épée parfaite pour son client. Il avait ce don de comprendre très rapidement ce qui lui était ...
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