1. L'aventure


    Datte: 08/10/2018, Catégories: fh, inconnu, grossexe, grosseins, fépilée, forêt, Masturbation fdanus, fsodo, fantastiqu, merveille,

    ... demandé, et même de penser aux tout petits détails auxquels personne d’autre que lui n’aurait accordé d’importance mais qui faisaient toute la différence lors des combats. En bon artisan, il analysait avec une infinie précision la demande qui lui était faite. Ainsi il avait pu remarquer un lien on ne peut plus étrange entre la taille des épées et l’humeur des femmes de ses clients. Il s’en était d’ailleurs un moment inquiété. Il espérait que ces si grandes épées, nées de ses mains, ne serviraient pas à mettre un terme dramatique à un conflit conjugal. Heureusement pour lui ce n’était jamais arrivé. Bigbo avait beaucoup de mal à se l’expliquer mais plus les épées qu’on lui demandait étaient grandes, plus les femmes affichaient un air sombre et peu commode. À l’inverse, ceux qui lui demandaient des petites épées, bien plus maniables et rapides, avaient des femmes volontiers rigolardes et joviales. Bigbo s’était forgé, pour son propre compte, une toute petite dague très aiguisée. L’arme parfaite pour se tirer d’un mauvais pas, qui n’avait heureusement jamais servi. Bigbo aimait sa vie, encore plus heureuse que paisible. Peut-être, s’il fallait vraiment y réfléchir, qu’une femme à ses côtés pour partager ces bons moments aurait représenté un encore plus grand bonheur mais il n’y pensait pas, ou rarement. Il faut dire qu’il ne savait pas comment s’y prendre et n’avait que peu de temps pour apprendre, quand bien même il aurait connu une personne ou un livre pour lui enseigner la ...
    ... méthode. Ce soir-là, la chaleur était étouffante. Les récoltes avaient été bonnes et le village en célébrait la fin dans l’allégresse et l’alcool, comme chaque année. Bigbo buvait peu : il devait ingurgiter plusieurs litres de bière avant de commencer à en ressentir les effets, or cela le conduisait invariablement à passer une bonne partie de la soirée à évacuer cet excès de liquide. Il ratait ainsi les danses, les plats, les feux d’artifice, et surtout ces moments où, juste avant le lever du soleil, certains villageois et villageoises se laissaient aller en public à quelques rapprochements qu’ils auraient oublié ou feraient semblant d’avoir oublié le lendemain. Bigbo gardait précieusement ces images en tête, elles nourrissaient toujours ses moments solitaires, même plusieurs années après. Mais pas ce soir. Bigbo était, comme à son habitude, parfaitement placé pour tout remarquer sans qu’on le remarque. Il ne se cachait pas pour autant mais passait juste inaperçu. Pas suffisamment cependant puisqu’une villageoise à la conscience émoussée par le mousseux s’était dirigée, aussi droit que possible, vers lui. — Dis-donc tu ne danses pas, le gnome ?— Euh… non… mais c’est…— Fais-voir, il paraît que t’en as une encore plus petite que mon mari. Sans plus de forme, sa main s’était posée sur l’entrejambe de Bigbo qui, peu habitué à ce genre de traitement, ne put retenir un gonflement très rapide. Plus le pantalon de Bigbo se tendait, plus les pupilles de la jeune femme se dilataient et ...
«1234...11»