Pas à pas - Histoires de Sexe

Pas à pas

... le laissai me masturber avec délice, étant heureux du déroulement des choses. S’il me branlait, c’est qu’il voulait me rendre le plaisir que je lui avais donné, et donc qu’il ne montrait aucune animosité à mon égard, et même qu’il validait mon geste. J’ai giclé dans l’eau. Il a été retrouvé sa copine. Moi, je suis resté dans la mer en attendant que mon sexe reprenne des dimensions acceptables et pour récupérer de ma jouissance. Lorsque je regagnai ma serviette, Stéphanie me dit : — Si tu venais manger à notre bungalow ce soir, ce serait sympa.— Merci beaucoup, mais je ne voudrais pas m’incruster dans l’intimité de votre couple. Vous voulez peut-être vous retrouver ensemble, l’un avec l’autre.— Que vas-tu penser ? me répondit effrontément la jeune fille en se couchant sur le dos, présentant sa magnifique plastique aux rayons du soleil. Gérard attendra bien sagement que tu sois parti pour badiner avec moi. Il a déjà droit à MMS.— Quoi ?— MMS : matin, midi et soir, pour des jeunes comme nous. À 35 ans, c’est MMS : mardi, mercredi, samedi. À 50 ans, c’est MMS : mars, mai, septembre. Et enfin, vers 65 ans, ça devient MMS : mes meilleurs souvenirs. Nous avons passé une excellente soirée avec un repas simple, mais très bon, arrosé d’un rosé des plus appropriés. Nous avons parlé de choses et d’autres, et notamment comment nous étions arrivés au naturisme. — J’ai commencé le naturisme avec mes parents, dit Gérard ; nous n’allions pas dans des centres, ce qui nécessitait de jouer ...

... parfois à cache-cache avec les gendarmes. On pouvait bronzer à poil à condition que les autorités ne nous voient pas. Plus tard, j’ai découvert les centres naturistes, où là, la nudité est quasi obligatoire et totalement autorisée, même souhaitée.— Moi, dit Stéphanie, je ne m’étais jamais mise nue sur une plage. Je ne me mettais topless que s’il y avait un grand nombre de nanas ayant déjà quitté le haut. Lorsque Gérard m’a parlé du naturisme, je n’ai pas réfléchi et j’ai tout de suite dit « oui ».— Ça m’a même surpris qu’elle accepte si facilement.— J’avais quelques craintes, tout en ayant vraiment envie de découvrir cet univers dont une copine m’avait parlé en termes dithyrambiques. J’ai vite été séduite, car le voyeurisme, ce que je redoutais le plus, n’a pas lieu d’être. Personne ne te regarde, finalement. On te voit, c’est tout. Tu es nu ? Et alors, tout le monde l’est ! Pour autant, il ne faut pas se voiler la face : nous aimons regarder les personnes de l’autre sexe qui sont à notre goût. Mais cela reste bon enfant.— Oui, suis-je intervenu, lorsqu’on dit qu’il n’y a ni voyeurs ni exhibitionnistes, ce n’est pas exact. Moi j’aime mater les rondeurs des nanas. Excuse-moi, Stéphanie. Par exemple, aujourd’hui lorsque tu es allée te baigner et lorsque tu en es revenue, je n’ai pu m’empêcher d’admirer ta beauté.— Il n’y a pas de mal. Dès le premier jour, j’ai bien vu que tu me reluquais avec insistance. Ça me faisait marrer que tu sois en train de bander pour moi sous ton ventre. ...