1. Pas à pas


    Datte: 09/10/2018, Catégories: hh, fhh, hbi, jeunes, vacances, plage, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... Moi aussi j’ai regardé ta queue et j’ai apprécié son… élégance : elle est belle, longue, légèrement épaisse, ne fait pas étalage de ses charmes et ne bande pas au premier nichon qui tressaute ou à la première ouverture de jambes, même si…— Je sais me contrôler, sauf les premiers instants où, je l’avoue, je bandais.— Bah, Gérard, il a beau dire qu’il a l’habitude, je peux provoquer sa trique en deux secondes.— Sommes-nous voyeurs ? Oui, en quelque sorte puisqu’on y prend plaisir, mais simplement pour apprécier les créatures ; certainement pas pour violer de notre regard leur personne. On le fait toujours discrètement, et comme nous sommes nus également, ces regards sont sans convoitise, sinon on se ferait vite repérer.— Il faut avouer, reprit Stéphanie, que certaines jeunes filles, plus ou moins ingénues – des nymphettes exquises – font tout pour se faire voir. N’est-ce pas, Messieurs. Pour nous les femmes, il y a quelques beaux mecs, des Adonis sortant de l’adolescence ou des Apollons aux membres virils impressionnants, avec certainement beaucoup d’expérience, qui sont vraiment beaux à voir. Alors autant se contenter.— Il y a également des femmes qui sont des remèdes contre l’amour. Si tu bandes, tu n’as qu’à les regarder et ça retombe immédiatement !— Tout comme il y a des hommes où il faut chercher leur queue tellement elle est petite, comme une nouille, ou masquée par les bourrelets d’un ventre flasque. C’est désolant. En plus, l’eau froide n’arrange rien à l’affaire, au ...
    ... contraire. Au moment de nous quitter, Gérard me glissa à l’oreille : — Viens me retrouver ici demain matin à partir de 10 heures ; Stéphanie sera absente pour la matinée. _____________________________ Le lendemain, je me pointai à dix heures, et dès que Gérard m’eut fait pénétrer, je l’enlaçai pour un premier baiser. Peut-être surpris qu’on puisse s’embrasser entre hommes, il ne me donna pas tout de suite accès à sa bouche. À mon troisième assaut, nos langues se mêlèrent et l’étreinte fut terriblement sensuelle. Étant nus, cela facilita les choses. C’est lui qui vint prendre ma queue, la porta à sa bouche, la lécha, puis la goba. Je dus refréner ses ardeurs et lui demander de faire attention, ses dents venant irriter la fine peau de ma tige. Il s’appliqua et me donna beaucoup de plaisir. Nous nous sommes retrouvés en 69, nous léchant conjointement. Nous avons expulsé notre jus presque au même moment, moi avalant son sperme, lui n’osant pas. — Excuse-moi, j’ai du mal à me faire à l’idée de goûter à un autre sperme que le mien.— Tu as goûté le tien ?— Oui. Ado, lorsque je me branlais, il m’arrivait de porter à ma bouche quelques gouttes. Maintenant, lorsque Stéphanie me suce et que sa bouche est pleine de mon foutre, elle vient m’embrasser et je ne peux pas faire autrement que d’avaler ce qu’elle me donne.— Bah, tu fais comme tu veux : tu avales ou tu n’avales pas. Dans un premier temps, goûte tout de même à mon jus. Il prit du bout des doigts mon sperme qui était répandu sur ...
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