1. Valérie : l'insoupçonnée (9)


    Datte: 02/08/2017, Catégories: Hétéro

    Le serveur arrive à point nommé avec les entrées, plutôt des amuses-bouches. L’excellent plat principal suit rapidement. Valérie et moi papotons plutôt de travail. Le dessert est simple (panna cotta) mais parfaitement réussi. Un expresso plus tard, nous remontons. Dans l’ascenseur, dans le couloir qui mène à la chambre, nous rions et nous embrassons. Nous profitons au maximum de ce moment à deux, conscient qu’il s’agit d’instants exceptionnels. Arrivés dans la chambre, nous nous enlaçons longuement avant de nous embrasser avec frénésie. J’allonge rapidement Valérie sur le lit et soulève sa robe. J’écarte son string pour lécher son abricot glabre et humide. Elle halète rapidement, gémit et jouit à trois reprises, consécutivement. Valérie se redresse et se lève pour retirer sa robe avec élégance. Elle me chevauche et dit : — Je ne sais pas si tu as suivi un cours, mais tu es un expert en cunnilingus. Elle rit et s’empale sur mon sexe. Lascive, sensuelle, Valérie ondule langoureusement sur moi. Ses yeux sont plongés dans les miens. C’est très érotique et divinement excitant. Elle jouit encore une fois. Je me redresse et la couche lentement sur le lit, toujours planté en elle. Entre ses jambes, je vais-et-viens tantôt lentement, tantôt plus vigoureusement. Valérie demande du répit juste après son cinquième orgasme. Je me retire, nous nous embrassons. Le désir revient très vite chez Valérie. Elle se tourne et se met à quatre pattes devant moi. — Lèche-moi encore… Cambrée au ...
    ... possible afin libérer le passage à son sexe détrempé, Valérie gémit bruyamment. Remontant le long de sa fente, je suis à quelques centimètres de son petit trou. Je dépose des baisers dans sa raie sans y toucher. Rien à perdre, je dis : — Je te lèche là aussi ? Heureusement qu’il n’y avait aucun bruit dans la chambre : Valérie a murmuré un "Oui" et mes lèvres se déposent immédiatement sur la petite fleur rose foncée. J’y goûte du bout de la langue. Valérie ne gémit plus, elle semble attendre. Ma langue excite alors plus franchement la rondelle de la jolie brune qui exprime son plaisir par un premier "Oh mon Dieu !". J’écarte ses fesses et me fais plus intrusif. Lentement mais sûrement, Valérie se détend, se laisse aller au plaisir. Sa réticence, ses tabous laissent petit à petit leur place à la délectation d’être ainsi excitée. A mesure que l’anus de Valérie s’ouvre, je le pénètre de ma langue. Je sodomise Valérie de courts et rapides allers-retours de ma langue. Mon majeur entrerait sans peine dans cet orifice désormais bien ouvert. Je ne compte plus les "Oh mon Dieu !" de Valérie qui se masturbe doucement. Je me redresse alors et prend ma partenaire en levrette. Sans ménagement. De vigoureux coups de rein dès l’entame et un rythme qui va crescendo. Valérie prend cher et elle aime ça. Au plus fort de notre ébat, j’atteins un formidable orgasme. Long, intense, je le ressens des pieds à la tête. Puis le vide. Ma tête tourne et je dois m’allonger, un sourire idiot aux lèvres. Valérie ...
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