1. Valérie : l'insoupçonnée (9)


    Datte: 02/08/2017, Catégories: Hétéro

    ... pose sa tête sur mon épaule. Il me faut quelques minutes pour reprendre mes esprits. Nous nous embrassons. — Merci pour ce cadeau. Valérie rougit. — C’est à moi de te remercier, tu m’a rendue folle avec cette caresse. J’étais à deux doigts de jouir. — Tu as réfléchi depuis l’autre jour ? Elle sourit. — Oui. J’en ai aussi parlé avec une amie qui m’en a dit beaucoup, beaucoup de bien. — Beaucoup, beaucoup ? — Elle m’a dit que c’était fabuleux et qu’un mec qui fait ça, c’est pas si fréquent. — Et ? — Et c’est vraiment le pied, oui ! Nous rions. Je dégrafe le porte-jarretelles de Valérie qui l’enlève ainsi que ses bas. Nus, nous discutons et rions dans le lit. Des douces caresses nous font tout oublier. Chaque seconde est vécue avec intensité. Plusieurs dizaines de minutes plus tard, alors que je retrouve de la vigueur, Valérie se lève : — J’ai un autre surprise pour toi. Dix minutes plus tard, je l’entends sortir de la salle de bains. Elle apparait alors comme dans un rêve. J’ai quelques doutes sur ma vision, mais elle ne me trahit pas. Tout de blanc vêtue, Valérie porte une guêpière en dentelles, un string minuscule, des bas opaques et des escarpins, des gants de soie qui remontent au dessus de ses coudes et, comble de l’érotisme, elle a noué un collier ras-du-cou en dentelle. Elle pose, se tourne, rit. Je suis subjugué par sa beauté. Valérie me rejoint sur le lit et masturbe doucement ma bite de sa main gantée. L’acte initial d’un rapport fabuleux de près d’une heure, une ...
    ... communion des sens souvent tendre, parfois coquine ou obscène. Nous partageons ce moment divin, repoussant autant que possible ma jouissance tandis que Valérie multiplie les orgasmes. Le lit inondé de sueur est le témoin de notre ardeur et de la passion qui brûle en nous. Le nirvana final dans la position la plus sensuelle et la plus tendre qui soit, celle du Lotus. Notre baiser qui n’en finit plus et les larmes de plaisir de Valérie. De retour au lit après la douche, je prends la guêpière qui s’était retrouvée entre deux coussins durant notre ébat. — Pour quelqu’un qui ne porte "quasiment jamais" de lingerie fine ! Valérie rigole. — A part l’essai que j’avais fait au magasin, c’est la première fois que je la porte. — Quel privilège ! — Elle m’a été offerte avec le collier de dentelles quand j’ai acheté ma robe de mariée. C’était pour la nuit de noces. Je ne l’ai jamais mise. — Et les gants ? — Ceux de mon mariage, les escarpins et le string aussi. — Tu portais un si petit string sous ta robe de mariée ? — Oui et j’ai regretté après coup, car en fin de soirée, certains se sont amusés à faire des photos sous les robes. C’était drôle sur le moment et la plupart des femmes ont joué le jeu, moi la première. Et dans le feu de l’action, il y en a eu deux photos où mon string n’est plus en place et dévoile allègement mon minou. Et une photo qui a dû être prise alors que je devais être penchée en avant. Bref, la netteté s’est faite pile au bon endroit : sur mon anus pas vraiment ...