1. Germaine de Montreuil


    Datte: 09/10/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... pouvaient choisir un « entretien », un « entretien approfondi », une « confession » ou une « confession sévère ». Les prix des pucelages pouvaient monter très haut. Et la nuit se passait dans des chambres calfeutrées d'où les cris de plaisir comme de douleur ne pouvaient troubler le silence des couloirs déserts. Ce n'était pas inutile : Sourdingue, sourde et muette, criait dans l'orgasme comme un cochon qu'on égorge, car elle n'avait pas conscience de l'intensité de ses cris. Les clients adoraient car ils y voyaient une preuve de leur virilité. Débilotte s'exprimait comme une gamine de 6 ans. Assise avec les clients dont elle ne se gênait de tâter la raideur, elle se branlottait continuellement la chatte en gémissant, et son plaisir était non moins bruyant que celui de Sourdingue. De plus, certaines « confessions » étaient vraiment sévères. J'étais devenu un habitué (et même un amant) de Gazelle Timide avec qui j'ai eu de nombreux « entretiens approfondis ». C'était une délicieuse petite brune aux yeux noisette. Ses petits pointus, dotés de gros tétons sombres, valsaient librement dans un soutien-gorge trop grand mais très décolleté. A cause de sa « timidité », il me fallait de longues minutes, de nombreuses caresses, de langoureux baisers et quelques claques sur les fesses pour qu'elle accepte que je lui enlève successivement ses bas noirs, sa minijupe en soie bleue électrique, son soutien-gorge du même bleu et pour finir un minuscule slip constitué de rubans roses. Ce ...
    ... dernier, une fois ôté, toute fière de sa touffe de poils noirs artistement taillée, c'est elle qui prenait en mains la recherche du plaisir, et d'abord du sien. Ce n'était plus une gazelle, mais une louve en chaleur dont les baisers fougueux s'agrémentaient de suçons. Elle ouvrait largement les cuisses pour inviter ma langue à consacrer à son plaisir le temps qu'il fallait, et elle adorait que ma langue lui écrase le bourgeon et qu'elle se faufile le plus loin dans l'antre toute baveuse de son nectar. Elle écartait ses adorables petites fesses pour que je puisse langotter son œillet endolori par des « confessions » trop brutales. Lassée de la conduite autoritaire de Germaine, l'écurie s'est révoltée sous la conduite de Chatte Griffue. Si la patronne s'exprimait avec ses clients dans un langage qui fleurait bon la désuétude aristocratique, elle ne traitait ses filles que de « pétasses », de « connasses », « d'enculées » et de « trous à bites ». De plus, elle inspectait tous les matins d'un doigt autoritaire leurs anus et leurs vagins, et pour les punir de broutilles, elle leur pinçait les tétons. En trois jours de conciliabules, les filles ont préparé une fin de présentation burlesque. Gazelle Timide s'est arrangée pour perdre sa jupette minuscule, La Brûlante s'était fabriqué un ventre de femme très enceinte et marchait en canard. Germaine était furieuse, mais les applaudissements fusaient à chaque nouvelle entrée. Barbie a pissé dans son short rose, Sourdingue a défilé en criant ...