1. Vérités et Fantasmes - Part 5


    Datte: 10/10/2018, Catégories: 2couples, extraoffre, vacances, fsoumise, hsoumis, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession,

    ... demandé à Sabrine de leur mettre le bandeau. Saintes est à 50 km de Saint-Palais et le voyage s’est passé tranquillement. Mes Soumis ne sont pas anxieux. Ils savent maintenant que leurs réserves sont respectées et que je suis quelqu’un de confiance. En arrivant devant la maison des Pinauts, il me suffit de passer un SMS pour que la porte de leur garage s’ouvre et que la discrétion soit respectée. Ainsi Anne et Robert sont extraits du véhicule et menés dans le salon de la grande demeure sans témoins gênants. Plusieurs personnes sont déjà présentes. Les Pinauts, bien sûr, Marie et Philippe mais aussi un autre homme qui nous salue silencieusement. Le silence, voilà un point très important. À chaque instant, mes sujets aveuglés par le bandeau, doivent se demander qui est présent, combien de spectateurs, etc. J’ai ma petite idée pour meubler ce silence d’une façon particulière. Alors que Sabine, informée de mes projets, éloigne de quelques mètres le mari pour le faire asseoir dans un fauteuil confortable, j’entraîne Anne un peu plus loin pour lui glisser à l’oreille. — Anne, voici le grand moment. Êtes-vous prête ? C’est une voix assurée qui répond :Oui ! Je n’en attendais pas moins d’elle. — Un homme va vous entraîner. Vous allez lui obéir, bien sûr. Un autre, peut-être, viendra le rejoindre. Êtes-vous toujours d’accord ? Toujours la même voix assurée :Oui ! — Je n’exige qu’une chose, vous entendre ? Je veux vous entendre. Entendre vos envies, vos gémissements, vos cris, votre ...
    ... jouissance.— Mais !— Rassurez-vous, Robert n’entendra pas. Il sera trop loin pour que vos cris de plaisir lui parviennent.— Ah ! L’âme humaine est étrange. Vous lui proposez les plus grandes dépravations, les situations les plus fortes, elle accepte. Elle accepte même que le conjoint regarde et même que cela puisse exacerber son plaisir. Mais lui demander, dans le silence d’une maison, de parler pour décrire ce qu’elle fait, alors le choc est trop fort et il faut utiliser des subterfuges pour la libérer. J’entraîne Anne dans une série de couloirs, de pièces pour la désorienter mais c’est dans le salon que je la ramène, où tous l’attendent. Seul Robert, toujours aveuglé ne sait pas encore. Philippe la "réceptionne" alors que nous revenons dans la pièce principale. Il la conduit contre la table, tout en l’embrassant, sans un mot, la poussant jusqu’à ce que ses fesses heurtent le bord. Il l’embrasse encore et toujours. Ses mains s’affairent, bataillant un peu avec la robe. Il cesse un instant, reculant d’un pas pour que tous puissent profiter du spectacle. Je lui avais fait mettre la lingerie fendue ou les tétons semblent avoir percé le fin tissu pour sortir de l’ombre, alors que les petites lèvres de la chatte font partie intégrante du string fendu. Marie semble hypnotisée par le spectacle de cette femme qu’elle a côtoyée à l’association. Le monde est étrange. Elles se parlaient, chaleureusement d’ailleurs, mais aucune n’aurait parié un euro sur la sexualité libérée de l’autre. ...
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