1. Vérités et Fantasmes - Part 5


    Datte: 10/10/2018, Catégories: 2couples, extraoffre, vacances, fsoumise, hsoumis, Oral double, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, sm, attache, BDSM / Fétichisme yeuxbandés, confession,

    ... parler, de gémir, de pousser de petits cris qui accompagnent la folle farandole de son amant. Tout le monde dans la pièce est excité par ce qu’il voit, mais UN particulièrement : Robert. Robert aveugle, lui, ne peut qu’imaginer ce qui se passe. Bien sûr, il reconnaît la voix de sa femme. Probablement qu’il sait les caresses qu’elle reçoit. Il pense que Martin doit lui jouer le grand air de la langue friponne et audacieuse. De temps en temps, il sent une main, celle de Sabine, qui frotte son entrejambes et qui doit constater qu’une érection déforme son short. Car, lui aussi se croit dans sa maison. Lui aussi a eu le même raisonnement que sa femme. Il se croit dans son salon, même s’il ne reconnaît pas le fauteuil ; mais être aveugle modifie les perceptions. Donc, dans son esprit, sont présents : Anne avec Martin qui la lutine, Lui que Sabine caresse de la main. La réalité est autre : Philippe s’occupe d’Anne. Sabine caresse Martin. Marie flatte Robert. Un point est pourtant commun. Les hommes bandent. Les femmes mouillent. Philippe abandonne un instant sa maîtresse pour se déshabiller. Il nous montre une trique d’enfer, mais Martin et Robert n’ont rien à lui envier car les femmes qui les déshabillent font apparaître des verges bien vaillantes. Si Robert est repoussé dans son fauteuil, maintenant nu mais la bite flattée par la main de Marie, Philippe aide Anne à se déplacer pour le tableau suivant, résultat des idées de Martin. Philippe s’allonge sur la table et entraîne avec ...
    ... lui sa maîtresse afin qu’elle le chevauche. Anne n’a pas besoin d’un dessin car avec son mari c’est souvent elle qui domine. Un gémissement appuyé car elle se souvient de la demande de Martin, et elle descend lentement sur la queue bien raide que l’inconnu lui propose. C’est si facile. Le bandeau permet tout, c’est l’excuse parfaite. Cet inconnu pourrait être repoussant, ce n’est pas grave. La seule chose qui compte et qu’Anne peut apprécier, c’est sa queue de travailleur, longue, raide, noueuse que son vagin engloutit en un instant. Il est vrai que tout est facile lorsque le désir est présent et que l’amant de passage a largement salivé, ajoutant le lubrifiant maintenant superflu alors qu’elle a déjà joui. Elle le chevauche, mais reste immobile, peut-être pour savourer l’instant. Lorsqu’elle sent des mains qui la poussent en avant, elle pense d’abord que c’est son amant qui veut la sentir tout contre lui. Mais lorsque quelque chose se frotte dans la raie de ses fesses, il ne lui faut pas longtemps pour comprendre. Ainsi un deuxième homme est présent. Ainsi une deuxième verge demande le passage. C’est Martin, cela ne peut être que lui. Lui, qui répondant à la question de savoir s’il avait déjà pris une femme en sandwich, avait répondu :« Bientôt, avec vous chère Anne ». Mais oui, c’est lui. Ainsi tous deux vont réaliser un rêve. Le gland qui se présente, c’est déjà un aperçu. Il pousse, il force, il fore l’anus déjà complice, déjà emprunté, même si la queue qui se présente ne ...
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