Vérités et Fantasmes - Part 5
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
2couples,
extraoffre,
vacances,
fsoumise,
hsoumis,
Oral
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
hsodo,
sm,
attache,
BDSM / Fétichisme
yeuxbandés,
confession,
... s’est pas fait reconnaître. Non, la vraie, la seule, l’authentique qui a maintes fois été autorisée, c’est celle de Robert. Mais le cul n’est pas fidèle. Une queue est une queue et seule la taille compte. Celle-ci pousse maintenant avec insistance alors que deux mains écartent les fesses. — Ahhhhh ! Le passage s’est ouvert. Le gland est entré. Douleur et envie se mêlent mais rien n’arrête l’envahisseur. Le dard s’enfonce doucement dans ses entrailles. Un instant elle croit qu’elle va exploser. C’est autrement plus fort qu’avec son mari et le mince gode qu’ils utilisent parfois. Mais petit à petit le chemin se fait. Elle sent les deux queues batailler en elle, chacune refusant de céder sa place et pourtant celle qui l’encule avance toujours. Martin veut profiter de cet instant. Il communie par la pensée avec sa Soumise, cette femme qui l’a si souvent troublé et qu’il possède enfin, par ce petit cul qu’elle lui avait montré dans un moment de défi dès leurs premiers échanges. Une dernière pression, un dernier coup de rein et son ventre bute sur les fesses de la femme. Voilà, il est calé dans ses reins. — Ahhhh ! Ce gémissement n’est déjà plus un gémissement qui hésite entre douleur et plaisir. C’est le doux murmure de celle qui réalise un fantasme et qui se sent si bien avec ces deux bâtons en elle. Deux bâtons de chair qui palpitent et dont la chaleur embrase son ventre. Elle fait ce que toute femme fait dans ces circonstances, elle ondule, bouge imperceptiblement pour mieux ...
... les ressentir, attendant maintenant qu’ils se déchaînent en elle. Car c’est ce qu’elle veut. Devenir une chienne en chaleur, une salope que deux hommes utilisent à leur guise pour n’être plus qu’un vagin et un cul ramonés avec ardeur. Mais ils ne bougent pas. Une main s’appuie sur son visage, entrouvre ses lèvres pour y glisser des doigts. Elle suce consciencieusement. La main se retire et c’est maintenant… Mais non ! Mais si ! C’est un sexe qu’on lui propose. C’est une verge tendue que l’on pousse dans sa bouche. Un sexe. Un sexe d’homme. Robert ? Non, Martin m’a affirmé que Robert serait loin. Un autre, alors. Un inconnu. Un inconnu qui la sollicite. Un inconnu qui pousse encore plus loin la queue pour la forcer à le sucer. Elle obéit, amorce ses caresses, s’applique de ses lèvres et de la langue. Mais d’un seul coup il se retire. Elle le cherche à l’aveugle mais il semble être parti. Pourquoi ? N’a-t-il pas apprécié ? Mais non, le revoilà, vaillant, presque brutal. Cette queue c’est celle de Robert. Une queue que les gémissements d’Anne et les caresses de Marie ont entretenue bien tendue. Alors que Martin commence la sodomie, Marie a guidé Robert de l’autre côté de la table et aidé à monter pour être en position de transformer son bâton d’amour en sucette. Les lèvres de la femme, sa femme l’acceptent et entreprennent une fellation bien agréable. Mais quelqu’un lui enlève son masque. Un visage apparaît avec un doigt sur la bouche faisant signe de se taire. Ce visage, il ne le ...