La Condamnée
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... emmenée en me demandant si c'était le hasard qui les avait fait s'asseoir l'un à côté de l'autre. Le lendemain, dans le fourgon cellulaire qui me conduisait vers mes anciens bureaux, la fonctionnaire pénitenciaire, Madame Olga, une petite femme maigre, la cinquantaine au regard très noir, m'expliqua : - Quand tu seras montrée enchaînée devant tous tes employés, tu avoueras tes crimes et tu demanderas pardon. - Oui, Madame soufflai-je folle de honte et d'excitation. - Tu demanderas toi-même à être préparée pour ta mise en esclavage au service de la société, compris? - Mais Madame, en quoi consiste cette...préparation? Elle échangea un clin d'œil complice avec les deux gardiens qui m'escortaient et avec un sourire narquois, elle répondit : - Tu verras, tu vas adorer et tes employés aussi, saleté! Mes gardiens étaient deux noirs très jeunes, tous deux bâtis comme des armoires à glace ; ils me considéraient avec mépris, le regard mauvais ; je compris vite qu'il ne fallait pas les contredire et qu'il vaudrait mieux me montrer obéissante. Arrivés devant l'immeuble de mes ex-bureaux, Madame Olga avait pris soin de couper les bretelles de ma robe ainsi que l'élastique qui en serrait le bas. Elle ne tenait donc plus que par ma taille et mon ventre. Je devais donc continuellement la remonter sur mes seins et tirer sur le bas qui laissait apparaitre mes grosses fesses et mon string à chaque pas que je faisais. Agacée, la fonctionnaire m'ordonna : - Quand on s'habille comme une putain, ...
... on assume! Arrête de tirer dessus, de toute façon, tu seras bientôt à poil... Elle avait raison... Je pénétrai dans le hall de l'immeuble l'air hautain et impassible, comme si je venais travailler normalement, à la différence que j'avais les seins qui ballottaient maintenant complètement hors de ma robe et que j'avais les fesses exposées aux yeux des employés stupéfaits... - Madame, pourrais-je passer par les toilettes, je dois... c'est urgent. - Non mais, tu te prends pour qui, connasse? Tu pisseras quand je te le dirai et pas avant! Me répondit Madame Olga. Je fus conduite dans la grande salle de congrès où j'avais fait tant de discours et dans laquelle on avait réuni tous mes employés. Je traversai la salle sous les murmures et les ricanements moqueurs de mon ancien personnel. - Mesdames, Messieurs, voici votre ex-directrice Samantha Endersson. Ce n'est plus à présent que la condamnée n° 252312. Ecoutez ce qu'elle va vous dire et respectez toujours les lois de notre cher pays! - Je...Chers collègues...heu, je veux dire, ex-collègues, je... Puis je retrouvai ma fierté et en regardant fièrement la salle : - Je suis coupable et je ne mérite aucune pitié de votre part. Je suis bannie de la société. J'ai été justement condamnée aux travaux forcés à perpétuité. Je passerai le reste de ma vie à accomplir les travaux les plus durs dans la nudité totale et sous le fouet comme le veulent nos nouvelles lois. Je remercie le tribunal et tous ceux qui ont contribué à mon arrestation. La ...