1. Jeune fille au père


    Datte: 10/10/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou

    ... essuyer toutes ses traces de larmes.– Très vite j’ai compris qu’il ne s’agissait pas seulement d’un moment de folie, d’une passade, mais qu’ils se rencontraient régulièrement, sans doute déjà depuis des mois. Ils ont convenu de se retrouver dès le lendemain à l’hôtel « comme d’habitude, parce que dans mon bureau c’était trop dangereux ». Ce que j’ai réalisé de leur principale connivence, car ils n’étaient pas très explicites ce jour-là sur la suite de leurs parties de jambes en l’air, c’était que Michel devait expérimenter avec mon épouse des pratiques sexuelles qu’elle se sentait incapable d’accomplir avec moi !Je réalisai de mon côté que tout cela, en effet, cadrait assez peu avec l’image si parfaite, bien propre et nette de leur couple apparemment bien épanoui dans une si réconfortante routine.C’est seulement maintenant que je m’aperçus que j’étais restée debout, malgré ce beau monde qui était en train de vaciller autour de moi et que je puisai même dans ces révélations une étrange force, un peu comme ci je trouvai désormais un moyen réel de me rendre utile. C’était complètement irrationnel mais j’avais le sentiment que ce jeune mari en détresse avait besoin de moi !C’est presque comme une évidence, que je me suis agenouillée pour me trouver à sa hauteur. Ce que je faisais avec mes doigts à l’instant, il m’a semblé soudain naturel de le poursuivre avec mes lèvres, avec ma langue. Je me suis mise à effleurer ses joues comme pour l’essuyer par de chastes baisers de ...
    ... tout le chagrin qui était en train de fondre sur lui. Puis j’ai léché doucement ses larmes. Le goût du sel, par le contact de sa peau sur le bout de ma langue, m’offrait comme la saveur de son abandon.En prenant son visage entre mes mains je savais que c’était moi qui, pourtant plus jeune que lui d’une dizaine d’années, que c’était moi seule qui prenais la direction si imprévue et étrange des opérations. Il était là, ne faisant qu’avancer davantage son visage vers mes caresses comme en position d’offrande. Il me faisait don de quelque chose de plus profond en se livrant ainsi à moi, mais cela s’était passé si vite que je me mis à penser aux effets de l’alcool sur son attitude et c’est au moment où ma langue rejoignait la commissure de ses lèvres que je m’écartai soudain de lui. Je ne voulais pas que ce moment soit gâché par les circonstances dues à l’ivresse et j’eus peur alors que mes propres sentiments ne soient pas aussi purs que je l’avais imaginé.Je suis allée chercher une serviette pour finir d’essuyer son visage, mais cette fois peut-être autant pour le débarrasser de ma salive que de ce qu’il lui restait de larmes. Puis je l’ai accompagné jusqu’à sa chambre pour qu’il se repose et retrouve ses esprits avant l’arrivée de sa femme puis de sa fille.Je suis allée moi-même dans ma chambre pour m’y enfermer. C’était moins la peur de le voir franchir cette porte qui me motivait, que celle de me voir moi-même revenir en arrière, tant j’étais tiraillée par des sentiments ...
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