1. Jeune fille au père


    Datte: 10/10/2018, Catégories: Première fois Inceste / Tabou

    ... finalement me serrer contre lui et blottir son beau visage en larme contre mon ventre. La brutalité et la force de cette étreinte imprévue faillirent me déstabiliser mais curieusement je me suis soudain sentie devenir plus forte.C’est naturellement que je glissai ma main dans ses cheveux, comme je l’aurais fait affectueusement à l’égard d’un a****l perdu. Ses pleurs ne cessaient pas et je commençai même à sentir contre mon ventre la chaleur troublante de ses sanglots. Au bout d’un moment, il releva sa tête vers moi :– Je suis vraiment désolé. Je ne voulais pas te mêler à tout ça. Mais je n’ai plus la force… plus la force de faire semblant !Je ne savais évidemment pas de quoi il voulait parler et j’aurais plutôt voulu à ce moment ne pas le savoir tant cette situation me mettait mal à l’aise, mais sous les effets de l’alcool et d’un silence trop longtemps gardé, il avait envie de parler.– J’ai surpris il y a plus d’une semaine Céline avec un autre homme qui n’est autre que le meilleur ami de son père !J’avais envie de partir et en même temps je savais qu’il fallait que je reste. Ma seule présence était le seul réconfort qu’il pouvait trouver une fois épuisé celui de l’alcool. Et je continuai à le caresser, appréciant moi-même la sensation de ses doux cheveux glissants entre mes doigts.– C’était il y a exactement une semaine alors que tu étais au square avec Manon. Je suis rentré plus tôt que prévu et je pensais que Céline était encore au travail. Je n’ai pas pris de ...
    ... précautions particulières mais ils n’étaient pas en l’état de remarquer ma présence.J’aurais voulu pouvoir l’arrêter mais c’était impossible.– Ma femme était là dans ce même bureau complètement nue, à quatre pattes, en train de se faire baiser par derrière par Michel tout habillé qui avait son calebute et son froc à ses genoux.Un peu surprise par les mots qu’il employait je le fus plus encore par la suite.– Je n’ai pas tardé à comprendre de quoi il s’agissait car leur attitude bestiale ne les empêchait pas de s’exprimer, bien au contraire ! Entre lui qui ne cessait d’éructer entre chaque saillie : « Tu aimes ça te faire enculer par le copain de ton père ! Dis-moi que tu aimes sentir ma bite bien profond dans ton trou du cul ! Ce n’est pas ton petit Julien qui oserait te la mettre ! » Et elle qui lui répondait avec une égale obscénité : « Oh oui, c’est tellement bon ! Continue, continue comme ça et n’ai pas peur de me faire mal ! Vas-y, vas-y encore ! » Et tout ça avec des cris de jouissance qui s’apparentaient à des sanglots…Sa voix était elle-même étranglée de sanglots et ponctuée d’accès de rage dont je ne savais quelle était la principale cible, cet ami-traître de son beau-père ou l’épouse infidèle qui brisait par son attitude un si bel équilibre. Il y eu ensuite à nouveau un silence et je m’aperçus alors que ma main avait glissée insensiblement de ses cheveux vers son visage encore humecté de larmes, poursuivant ses caresses contre son front, ses joues, ses lèvres, comme pour ...
«1234...13»