Déjeuner et dessert - Histoires de Sexe

Déjeuner et dessert

... une belle vigueur. Elle aimait vraiment avoir ce sexe uniquement pour son bon plaisir. C’est à ce moment qu’elle décida de prendre son téléphone afin de donner un appel dont Jérôme entendit bien entendu la teneur. — S’il vous plaît, j’aurai besoin d’un taxi, avenue des Champs-Élysées (elle donna évidemment l’adresse plus précise), dans une demi-heure. Merci beaucoup. Il n’y avait pas de vrai doute sur la manière dont serait occupée cette demi-heure. Elle monta donc à son tour sur la table, s’accroupit sur le corps plat et lisse de son amant et se pénétra elle-même du sexe redevenu dur de Jérôme. Elle eut le plaisir de pouvoir coulisser un très grand nombre de fois, de frotter successivement toutes les parois de son sexe à toutes les faces du dard masculin, de conduire celui-ci jusqu’au fond de la paroi. De se retirer parfois, pour sucer un peu. De revenir tout de suite après, pour limer de nouveau. En gémissant, car elle était près de l’orgasme. Elle se plaisait dans ce rôle de cavalière. Elle se penchait en avant pour appuyer sa bouche sur celle de son bel étalon pendant qu’elle le pénétrait. — J’aime sentir votre bite, Jérôme, lui dit-elle avec un de ces mots si directs et si crus que ni elle ni lui n’avait eu, par éducation, l’habitude d’utiliser jusqu’à ce qu’ils s’en donnent récemment le droit, depuis leur rencontre. Elle coulisse bien et me fait jouir, ajouta-t-elle en accentuant la cadence, ce qui lui fit aussi augmenter le rythme de ses gémissements. Elle eut dans ...

... cette très agréable séquence le bonheur de connaître trois beaux orgasmes qui la firent tous exploser, sans que Jérôme, qu’elle avait vidé quelques quarts d’heure auparavant, n’éjacule en elle. Il comprit qu’elle descendait de la table et qu’elle rassemblait ses affaires à portée de main. Sans doute afin de se rhabiller avant de prendre son taxi, pensa-t-il. — Le temps avance, Jérôme, et il va effectivement falloir que je parte assez rapidement ; mais il nous reste encore quelques belles minutes à passer ensemble. Et je suis heureuse que vous bandiez encore si bien. Terminons donc ce bel après-midi comme je pensais ce matin que nous aurions terminé la matinée. Vous me semblez avoir encore de belles ressources et je compte bien en profiter. Elle remonta sur la table et lui enleva la culotte qu’il avait encore dans la bouche avant de se mettre de nouveau à califourchon sur lui, en tête-à-queue cette fois-ci, et en lui donnant ses dernières instructions. — Certes, Jérôme, je sais bien que vous n’avez ni vos mains, ni vos yeux, ni le droit de parler. Mais je vous ai rendu votre bouche pour que vous me prépariez habilement pour ce que nous n’avons pas fait ce matin. Occupez-vous donc de mon cul, «my ass » comme disent nos amis anglais, pendant que de mon côté de vais veiller à maintenir votre belle et fière érection. Ils se trouvaient ainsi, sur ce bureau, dans cette position classique où chacun s’occupait de l’autre sans un mot, mais avec application et gourmandise. Penchée sur lui, ...