Déjeuner et dessert
Datte: 10/10/2018,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
fsoumise,
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fdomine,
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... ma réunion, mais l’affaire me semble se présenter assez bien et je pense arriver désormais assez vite à sa conclusion. Soyez patient, continua-t-elle en mettant fin à l’appel.— Vous l’avez compris Jérôme, il va me falloir accélérer, dit-elle à l’attention de sa monture. Elle accéléra fortement, amplifia, et approfondit les mouvements de va-et-vient, qui prirent un rythme endiablé. Elle était bellement chahutée, son cul coulissant à merveille sur la bite droite de Jérôme qui s’introduisait souvent jusqu’à la garde dans le trou d’Hélène. Dans ces bureaux du huitième arrondissement de Paris, sur cette superbe et solide table de travail, une belle femme mûre, nue, et dont les seins ballottaient au rythme des mouvements empalait donc son cul sur le sexe dur et droit d’un bel étalon. Les deux amants en étaient arrivés au point de rupture, simultanément, et leurs gémissements initiaux n’étaient désormais plus que des cris presque bestiaux et très crus. Ils explosèrent en même temps à l’occasion de cette belle sodomie qui n’avait en fait été retardée que de quelques heures. Hélène descendit de la table, et Jérôme comprit qu’elle remettait rapidement les quelques effets qu’elle avait préparés. Quand elle fut habillée, elle contempla avec tendresse cette queue, désormais molle, retombée et couverte de sperme, qui venait de la remplir et de la combler de si belle manière. — Nous aurions vraiment eu grand tort, cher Jérôme, de ne pas ...
... terminer cette journée sans ce moment grandiose, dit-elle avant de sortir de la pièce, puis de la société en laissant les portes ouvertes. Il l’entendit appeler l’ascenseur sur le palier avant de revenir dans la pièce. — Ne soyez pas inquiet, Jérôme. Je ne vais pas vous laisser ainsi ; j’ai voulu préparer mon départ afin que tout se passe vite. Je vais uniquement défaire le lien de vos mains. Ceci me donnera le temps d’être loin avant que vous ayez pu défaire vos pieds et mettre quelques habits. Mais avant, un dernier petit baiser, si vous le permettez, et même si vous ne le permettez pas d’ailleurs, lui dit-elle en se penchant sur ce sexe mou, mais goûteux, qu’elle se remit en bouche. C’est ce qu’on appelle un petit dernier pour la route. Un petit dernier pour la bouche aussi. Et, s’il vous plaît, n’oubliez pas de lire le petit mot que je vous laisse. Il l’entendit encore ouvrir un des tiroirs de son bureau, et sans doute y placer quelque chose. Ensuite, d’un geste rapide elle détacha le lien qui lui entravait les bras sous son bureau, avant de sortir rapidement de la société, de s’engouffrer dans l’ascenseur qu’il entendit descendre. De son côté, il n’eut que le temps de défaire le lien de ses pieds, d’enlever le bandeau qu’elle lui avait mis sur les yeux, de se diriger, nu, vers la porte-fenêtre qui donnait sur les Champs-Élysées et de voir, plus bas, une belle femme qui s’engouffrait dans un taxi qui l’attendait. À suivre…