1. Retrouvailles bénies (1)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... d’œil. En plus cette robe la met tellement en valeur... j’ai hâte de pouvoir la lui enlever enfin... Je pousse la porte de notre appartement, avec ma valoche. Je suis accueilli par nos deux chats qui me saluent de longs miaulements. Alors que je m’accroupis pour les caresser un peu, Lucille se pose à genoux sur le carrelage du salon et lève les deux mains à la manière d’un chat et miaule. Je partage alors mes caresses entre les deux vrais chats et une compagne qui visiblement a envie de jouer. D’un mouvement un peu brusque elle éloigne les deux minous de moi et m’enlace à nouveau le ventre en serrant fort. « Miah ! Tu es n’à moi maintenant... hé hé ! » L’élan et l’enthousiasme dont elle fait preuve amplifie davantage mon désir pour elle, toujours dans cette magnifique robe bleue. Elle se redresse soudain et m’embrasse avec fougue, en prenant appui sur mes cheveux. Ses baisers sont passionnés, à tel point qu’elle essaie plusieurs fois de gober ma langue entre ses propres lèvres. Je passe mes mains dans ses cheveux, pour saisir doucement sa tête par les tempes, me permettant de temporairement me libérer de son emprise. « Et si... nous passions directement en chambre mon cœur ? Ce serait plus confortable... D’accord... vas-y... je te rejoins tout de suite. » Aussitôt dit, elle court monter l’escalier en bois qui mène à l’étage, aux chambres et à la salle de bains. Je n’en reviens toujours pas mais ce n’est pas le moment de réfléchir. Les chats ont beau me regarder avec ...
    ... jalousie, mon choix est vite fait. Je monte les marches à mon tour et rejoins notre chambre. Le lit est fait, les draps sentent bon les vapeurs d’encens et la fraîcheur des lieux montrent que le ménage a été fait avec grand soin. Je ne peux m’empêcher d’éprouver une légère jalousie... d’habitude c’est moi qui fait le ménage mais je n’arrive pas à un si beau résultat... Mais ce n’est toujours pas le moment d’y songer, J’enfile ma tenue de nuit, mon t-shirt doux et mon pantalon de pyjama, ne gardant que mon caleçon en dessous. Alors que j’entends ma chère et tendre sortir de la salle de bains, je me jette sous les draps, ne laissant dépasser que mes yeux. Soudain elle apparaît, s’adossant à l’embrasure de la porte. Je suis si surpris par ce qu’elle me donne à voir que je m’assieds dans le lit pour m’en assurer. Mais oui, c’est bien ce que je vois : Lucille porte un déguisement noir et blanc de nonne. Elle a même poussé le vice jusqu’à porter un petit pendentif en croix chrétienne. — Mais... mais enfin... Lucille... — Soeur Lucille, manant ! Je mérite le respect ! — De... d...de quoi ? — Oooh... je vois... on refuse de remplir son devoir de chrétien ? Si tu m’y forces... Elle sortit d’une petite poche une paire de menottes en peluche noire. — Donne moi tes mains ! L’incompréhension laisse vite place à une grande excitation. C’est comme si pour nos retrouvailles elle avait décidé d’exaucer les fantasmes qu’elle m’avait toujours refusé jusqu’ici. J’obéis et me laisse attacher au rebord du ...