1. Christine VI : Midlife Crisis (2)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Hétéro

    Je regarde Alina dans les yeux. Il y brille une envie qui me surprend. Alina semble me désirer ardemment. Je baisse les yeux, prends le bas de sa robe entre les doigts et soulève. En même temps, Alina glisse légèrement dans le siège. En écartant un peu les jambes. Alina ne porte pas de dessous sous le collant. Une fine toison noire orne une vulve rose aux lèvres épaisses. Mon souffle se raccourcit. Alina me prend par la nuque et m’embrasse. Un baiser passionné et intense qui me comble d’excitation. Enhardie, Alina me repousse dans mon siège et vient à califourchon sur moi en m’embrassant encore. La belle blonde frotte son bas-ventre contre le mien et je bande désormais durement. Les mains d’Alina déboutonnent mon pantalon et sortent mon sexe de son carcan. Elle cesse de m’embrasser pour baisser les yeux sur ma bite. Elle me masturbe : — Oh, mon Dieu… Elle m’embrasse à nouveau, tout en remettant les jambes sur son siège. Quand elle arrête son baiser, c’est pour prendre ma bite dans sa bouche. Agenouillée à côté de moi, elle me pompe lentement, à un rythme régulier. Je soulève sa robe, caresse ses fesses et sa vulve à travers le collant. Alors, d’un geste rapide et précis, Alina déchire son collant avec un ongle, au niveau de l’entrejambe. Je la doigte. Elle est détrempée. J’excite son clitoris, revient à son petit trou. Elle relève la tête : — Tu as une capote ? — Non. — Merde. Elle me pompe de plus belle tout en me masturbant. Quelques instants plus tard, je jouis dans sa ...
    ... bouche et Alina n’en laisse pas tomber une goutte. Elle se rassied sur son siège et nous nous regardons, interdits. Ses yeux expriment maintenant de l’inquiétude. Et une immense gêne. Comme pour moi. Elle dépose un baiser sur mes lèvres et sort de la voiture. Sans un mot. Je pars. Je rentre au ralenti. Je viens de me faire sucer par une des meilleures amies de ma femme. Elles se connaissent depuis plus de dix ans. Je ressens une immense culpabilité mais je ne peux réfréner une certaine satisfaction, comme une vengeance pour toutes ces disputes, pour toute cette irritation qui me mine le moral quand je suis à la maison. J’ai passé un excellent moment dont je ne suis pas fier. En entrant dans la chambre, je regarde Christine dormir dans un babydoll rouge qui remonte au dessus de ses fesses. Elle est tellement excitante. Pourquoi donc n’arrivons-nous plus à nous entendre ? Je passe à la douche avant de revenir me coucher. Sans bruit. J’écris à Alina le lundi matin. Je lui demande comment elle va et si nous pouvons nous voir pour parler. Elle me dit qu’elle se sent honteuse et propose qu’on se voit le lendemain à midi, dans un restaurant. J’accepte. Mais le mardi en fin de matinée, Alina écrit qu’elle a oublié quelque chose chez elle et qu’elle doit absolument rentrer à midi. Elle me demande de déplacer notre rendez-vous. Ou de passer chez elle. Je ne résiste pas au second choix. Nous arrivons en même temps devant sa maison. Mes pulsations accélèrent quand Alina sort de sa voiture : ...
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