1. Christine VI : Midlife Crisis (2)


    Datte: 11/10/2018, Catégories: Hétéro

    ... sous un long manteau, un chemisier blanc cintré, une minijupe plissée et des jambes gainées de nylon noir et montées sur des talons vertigineux. — Tu es sublime. — Je te retourne le compliment. Tu es craquant en costume. Elle ouvre, nous entrons. Elle me rejoint au salon et m’embrasse fougueusement. — J’ai tellement honte, Florent, mais j’ai envie de toi comme je n’ai jamais eu envie de personne. En un instant, son manteau et son sac sont à terre. Et mes mains sur ses fesses. En un instant encore, Alina est à genoux et me suce frénétiquement. Quand elle se relève, j’ai une capote sur la queue et Alina a déchiré son second collant en quatre jours. Au même endroit. Je la prends par derrière tandis qu’elle s’est appuyée sur le canapé. Physiquement proche de Christine, j’ai l’impression de pénétrer ma femme, même si les fesses d’Alina sont un peu moins larges. Alors que je la prends, elle raconte : — Tu m’as plu dès notre première rencontre… J’étais déjà avec Miki… Je me masturbais en douce… En pensant à toi… Quand Christine me racontait quelques détails croustillants, il me fallait plusieurs jours pour cesser de me caresser… L’an passé, elle m’a parlé de la taille de ton sexe… Je n’attendais que ce moment… Alina me repousse, me fait asseoir dans le canapé. Elle s’assied sur moi, glissant à nouveau sur mon sexe. Elle saute sur ma bite et gémissant bruyamment. Elle jouit et reprend ses va-et-vients. Je commence à déboutonner son chemisier : — Arrache-le ! Je tire violemment sur ...
    ... les deux pans de son haut dont les boutons se déchirent. Je descends les bretelles de son soutien-gorge. Ses seins sont petits et mous, contrairement à ses tétons, gros et durs, que je lèche avec avidité. Cela décuple son excitation. Je la soulève alors et la couche dans le canapé. Un pied au sol, je la pilonne en tenant ses genoux bien écartés. Yeux dans les yeux. Je me surprends à résister à l’envie de jouir alors qu’Alina implore le ciel sans discontinuer. Je la tourne à quatre pattes, déchire ce qu’il reste de collants et la prend en levrette. Fermement cramponné à ses hanches, je la défonce comme un fou. Alina gémit sans vergogne son plaisir, crie lorsque j’attrape ses cheveux. Quatre derniers coups de rein, brusques et rudes. Je jouis et m’affale dans le canapé. Alina fait de même, la tête sur mon ventre. Il m’est impossible de penser avec ma tête. J’ai perdu toute raison. Ce rapport, les mots d’Alina. Quel terrible secret ! Tout se mélange et je ne parviens pas à y voir clair. Des souvenirs avec Alina, des situations qui prennent un tout autre sens. Elle se tourne sur mon ventre, me regarde en souriant. Elle cesse de sourire quand elle voit mon air préoccupé. — Je suis désolée, Florent. — Nous sommes deux. Tu n’as pas à être désolée. J’en avais envie moi aussi. — Depuis longtemps ? — Depuis les soirées, il y a trois ans. — Pourquoi ? — Je t’ai toujours trouvée très belle. Mais le fait d’apprendre que tu étais une amatrice de lingerie avait été le déclic et cela avait ...