1. Au plaisir de vous revoir


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fhh, hplusag, inconnu, bizarre, boitenuit, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation nopéné, jeu, fsoumisah,

    ... le garçon qui sert en salle s’approche de nous : — Bonsoir, le propriétaire de l’Overlord souhaiterait vous accueillir à sa table et vous souhaiter la bienvenue en vous offrant une coupe de champagne. Comment refuser ? Nous descendons de nos tabourets, et le suivons dans une sorte d’alcôve. Un homme est debout. Grand, massif, un peu dégarni. La cinquantaine. Il baise la main de Muriel et nous enjoint de nous asseoir face à lui, de l’autre côté d’une table basse. — Je m’appelle Pierre, je suis le propriétaire des lieux. Nous ne nous connaissons pas, je crois. C’est sans doute la première fois que vous venez ici. J’en suis très heureux. Une coupe de champagne ? Nous trinquons, et l’homme reprend la parole : — Je vous observe depuis un moment. Ne vous offusquez pas, c’est mon métier. Je pense que c’est la première fois que vous venez dans un établissement de ce genre, car vous sembliez un peu nerveux en arrivant. Détendez-vous, nul ne vous connaît ici, nul ne vous juge, et surtout, nul ne vous importunera. La politique de la maison est très stricte en ce domaine. Sa voix est grave, son ton lent, et particulier. Il parle de manière syncopée, en marquant une courte pause entre chaque phrase, comme un homme qui sait qu’il ne sera pas interrompu, et force ainsi l’écoute. — Ça peut sembler paradoxal, mais les femmes peuvent être ici court vêtues sans risquer de susciter des regards lourds ou des gestes désobligeants. Ce qui n’est pas le cas dans une discothèque. Je tiens beaucoup au ...
    ... respect mutuel. Les regards ne doivent être que des hommages. Vous l’avez peut-être déjà ressenti, madame. Il est agréable pour une femme de pouvoir dévoiler ses charmes en n’étant regardée qu’avec respect. Et sachez-le, c’est agréable aussi pour votre mari. N’est-ce pas, monsieur ? J’acquiesce, mais ne trouve rien à répondre. De toutes manières, il n’attendait pas de moi une réponse. — Vous voyez ce rideau rouge, là-bas. Je suppose que vous imaginez ce qui se passe derrière lui, quand des couples le franchissent. Si je peux me permettre, je ne vous conseille pas de le faire, pas la première fois. Restez ici, détendez-vous, et je suis certain que vous passerez une excellente soirée, dont j’espère qu’elle vous donnera l’envie de revenir. À ces mots, il lève sa coupe. Nous trinquons. Et il reprend : — Vous avez les jambes croisées, madame. C’est un réflexe naturel, chez une femme assise. Mais ici vous pouvez les ouvrir, comme le fait un homme. C’est une sensation qui devrait vous plaire, une sorte de liberté dont vous n’avez pas l’habitude. Et ne craignez rien, même si je suis face à vous, je ne verrai rien, la lumière est tamisée. Muriel me jette un regard interrogateur. Je lui souris. C’est elle qui a voulu venir ici. Donc, qu’elle assume maintenant. Je la sens nerveuse quand elle se retourne vers cet homme. Mais elle décroise ses jambes, et les écarte. — Très bien, encore un petit peu plus. Voilà, parfait. Voulez-vous nous dire ce que vous ressentez ?— Je ne sais pas. C’est ...
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