1. Une charmante compagne de voyage


    Datte: 11/10/2018, Catégories: fh, inconnu, bus, train, douche, intermast, Oral pénétratio, fdanus, fsodo, hdanus, attache, journal, mélo, occasion,

    ... n’interrompent pas leur va-et-vient le long de la hampe. J’ai l’impression que ça n’en termine pas de jaillir alors que mon ventre se contracte de soubresauts erratiques. Non contente d’accueillir ma substance, elle l’avale discrètement et sa fellation durera autant que ma rigidité. Elle se redresse, se pince les lèvres comme si elle vient de mettre du rouge à lèvre, et me fait un clin d’œil. Elle a une révélation et, soudain prise de panique, me demande si j’étais sûr de ne pas pouvoir lui refiler un truc. Un peu tard pour s’en inquiéter, mais je la rassure car je sais être clean. Ma vie amoureuse récente et un dépistage de routine m’en donnent la certitude. Bien que « vidé », pour parler avec classe, j’ai encore envie de la toucher mais elle préfère se rhabiller. Je fais de même. De toutes manières, nous arrivons près de Nantes et la luminosité extérieure de l’agglomération chasse notre îlot d’intimité. Je regarde autour de moi et je vois l’autre couple me regarder en souriant. Au temps pour la discrétion. Je réalise que je n’avais pas particulièrement étouffé les râles accompagnants mon orgasme. Je n’étais plus dans un autocar à ce moment-là mais dans cette belle bouche chaude, humide et onctueuse. La fin du trajet se passe la main dans la main, sans échanger un nouveau mot. L’arrivée à Nantes se fait tardivement : 0 h 20. Nous sortons de l’autocar et il va être temps de se dire au revoir, avec beaucoup de regrets pour ma part. J’aimerais la revoir. Entamant finalement ...
    ... une vraie conversation, je lui demande : — Et vous … pardon : tu. Tu habites Nantes ?— Non, je vais au Croisic voir un copain. Un copain ? Dieux, que je suis jaloux ! — Oh ! Mais tu ne trouveras rien pour y aller à cette heure !— Je sais. J’aurais dû arriver à 22 h 30.— Pareil. J’aurais dû prendre celui d’avant aussi, mais mon avion avait une heure de retard. La police algérienne nous avait fait subir un dernier et pénible contrôle avec fouille dans le boyau d’accès à l’avion. Cela nous avait retardé d’une heure et, ensuite, la navette Orly-Montparnasse avait été bloquée dans les bouchons ce qui m’avait empêché de prendre le train prévu. J’avais maudit intérieurement la paranoïa exacerbée présente dans les aéroports. Je ne sais pas si ça arrête les terroristes mais, sans elle, je n’aurais jamais vécu ce que je venais de vivre. Je m’enquiers de son programme pour la suite : — Mais, du coup, tu vas devoir attendre demain. T’as un hôtel ?— J’en ai repéré avec des bornes automatiques à la Beaujoire. Genre Etap Hotel ou B&B. Je comptais prendre le tram.— Écoute, si tu n’as rien réservé, je te propose de venir chez moi, dis-je avant d’ajouter en riant : je te promets de ne pas te toucher ! Je dormirai même dans le canapé.— Ah ben, ça n’a aucun intérêt alors ! Non mais je ne veux pas te déranger. Tu vas peut-être travailler, demain.— Non, je suis en repos. Je reviens d’Algérie et ils travaillent le dimanche là-bas. Du coup, je dois récupérer un jour car mon premier week-end là-bas n’a ...
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