Patrick revient pour tenir sa promesse de nous sodomiser
Datte: 12/10/2018,
Catégories:
ffh,
grossexe,
Collègues / Travail
fsodo,
historique,
... massage, écrasant ses testicules de chaque côté de la hampe entre ses cuisses. Juliette vient de nous rejoindre après avoir fermé à clé la porte du cabinet. Je demande à Patrick : — Mets-toi sur le dos. Patrick se retourne et met ses deux mains sous la tête ; sa bite est nonchalamment posée sur sa cuisse gauche qu’elle traverse presque en entier. Je reprends mes manipulations et Juliette, ne voulant pas rester spectatrice, lui masse les pectoraux. Nos quatre mains commencent à lui faire de l’effet ; tout doucement, nous voyons la belle courbe de sa verge molle se raidir et se redresser. Elle s’allonge par à-coups et dépasse maintenant sa cuisse. À chaque compression de ses muscles abdominaux qui pulsent dans les corps caverneux de cette magnifique verge une nouvelle dose de sang, nous voyons sa bite faire des soubresauts puis retomber sur son corps musclé. À chacune de ces pulsions sanguines son sexe gagne du terrain vers le centre de son corps. Lentement, tout doucement, nous assistons à la montée en érection de ce fabuleux chibre qui se rapproche de son nombril en continuant à gagner de la longueur, millimètre par millimètre, centimètre par centimètre. Ça y est, son membre est enfin dans l’axe de son corps, cachant sur plus de 5 cm son nombril, décollant de son corps de plusieurs centimètres et retombant lourdement à chaque contraction des muscles internes servant à l’érection de l’organe sexuel masculin. Quel beau cours d’éducation sexuelle ! Nous ne pouvons résister à ...
... l’appel muet de ce sceptre royal en attente sur ce beau corps de jeune mâle. Je dirige ma main droite vers son bas-ventre et me saisis de ce pieu en bois de fer, le redressant à la verticale. Juliette, suivant mon exemple, pose sa main gauche au-dessus de la mienne, cachant la 1ère moitié de la hampe. Ma deuxième main vient prendre place au-dessus de la sienne, bientôt suivie de celle de Juliette. Nos quatre mains n’arrivent pas à cacher la totalité de son gland qui devient violacé sous la pression de plus en plus forte que nous exerçons sur sa verge. Je me penche pour lui donner des coups de langue. Pendant plus d’une demi-heure nous nous relayons sur ce colosse de chair ; masturbation, fellation, malaxage des boules, une bouche avalant le gland pendant que l’autre lui gobe ses œufs, stoppant nos mouvements quand nous voyons aux crispations du visage de Patrick qu’il va exploser sous nos caresses, quand soudain il se met à hurler : — Je n’en peux plus, les filles ! Attention, je vais tout lâcher… aaarrrgggg ! Nous avons gardé chacune une main sur son sexe dressé à la verticale. Un geyser phénoménal s’expulse du méat, montant à plus d’un mètre avant de retomber sur son ventre. Les suivants se succèdent très rapprochés les uns des autres avec autant de puissance. Il pleut du foutre partout ; nos mains et nos bras en sont recouverts et nous devons nous reculer précipitamment, mais sans le lâcher pour ne pas en avoir plein nos vêtements. À partir du quatrième jet, la pression ...