1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (12) : Philippe a enfin sa soirée candauliste


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... coucherai avec tous ceux et celles que Rachid me choisira. Ton nom sera synonyme de cocu, Philippe T. Tu es prêt à accepter que je te déshonore ? • Oui, mon Olga, parce que je t’aime, que je veux que tu aies le maximum de plaisir. Rachid se décida à arriver. Il était en jeans serré et en blouson. Sans hésiter, je me précipitais dans ses bras et lui offris mes lèvres, pour un long baiser amoureux. Notre étreinte dura un long moment, les mains de Rachid ostensiblement sur mes fesses, pour marquer sa propriété. • Oh mon amour, te voilà enfin. Tu m’as manqué. J’ai pris l’habitude que tu sois avec moi chaque jour et que tu me baises. Je te préviens, je suis impatiente. Mais tu n’as pas pris de bagages ? • Pour quoi faire, j’ai bien l’intention de me faire entretenir ici. Tu nous présentes (Philippe et lui s’était mis d’accord pour faire semblant de ne pas se connaitre) ? • Philippe, mon mari, Rachid, mon homme. • Enchanté ! On va se tutoyer comme on est destiné à vivre sous le même toit et que tu auras le droit de toucher ta femme, qui est désormais la mienne. Elle m’a demandé, j’ai donné mon accord sous certaines conditions. Chez nous, quand on est proches, comme des frères, on s’embrasse. Approches-toi ! Philippe et Rachid s’embrassèrent sur les joues. Rachid voulait dès le départ marquer la place de Philippe. Il prit la main de Philippe et la mit sur la bosse qui déformait son pantalon, pendant que son autre main était posée sur les fesses de mon mari. Philippe ne protestait ...
    ... pas. Au contraire, je vis que sa main caressait le sexe de son « rival » • Tu as vu l’effet que me fait ton épouse ? Je vois que ça t’intéresse, mais ce soir ce n’est pas pour toi. Patience, ton tour viendra ! Rachid et Philippe se mirent assis sur le canapé du salon. Je leur servais à boire et les deux hommes parlaient de moi sans gêne, comme d’une pouliche. • J’ai toujours choisi les robes d’Olga pour que les hommes puissent mater à l’aise ses seins. Ils sont petits, mais si fermes et si sensibles. • La première fois, j’ai attaqué en lui caressant les nibards et très vite elle a capitulé, elle n’en pouvait plus. Les deux hommes passèrent le diner à parler de moi, comme deux vieux complices, de ma façon de sucer, des positions que j’affectionnais, du moindre détail de mon anatomie. Leurs propos m’excitaient. J’avais mis une main dans chacun de leur pantalon et caressais leur verge. A tour de rôle, ils m’embrassaient et me caressaient. • Philippe tu as su détecter le potentiel d’Olga. Et moi je vais désormais m’employer à le développer. Ses journées vont désormais se passer à jouir encore et encore. A être l’instrument de plaisir de ceux et celles à qui je l’offrirai. • C’est un programme qui me plait beaucoup. Je pourrai assister à cela ? • Evidemment, tu en seras spectateur et même acteur. Mais tu dois savoir que, cocufié par tant de gens, tu seras l’objet du mépris général. Ta réputation sera ruinée. Tu acceptes cela ? • Ma seule préoccupation est son plaisir et son bonheur. ...
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