1. Philippe, le mari candauliste et Olga, l’épouse hypersexuelle (12) : Philippe a enfin sa soirée candauliste


    Datte: 12/10/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    J’ignorais alors que Rachid tenait régulièrement informé Philippe de mes «progrès». Il était particulièrement fier de ma docilité, en particulier lors de ce samedi où j’avais accepté de m’exhiber comme une prostituée, avant que nous finissions par un trio avec la belle Rita. Honnêtement ça avait été plus dur pour moi quand Rachid m’avait offert à Georges, mais cette après-midi m’avait finalement donné aussi beaucoup de plaisir. Nos rites avec Philippe J’insistais beaucoup pour que Philippe reçoive sa « récompense », ce qu’il attendait tant : me voir jouir sous les caresses et les coups de boutoir de Rachid. Jusqu’à présent, il avait dû se contenter de ce qu’il avait entendu au téléphone le premier jour, quand Rachid m’avait prise dans l’ascenseur de notre immeuble. Chaque soir, il pouvait constater les traces de mes ébats du jour. C’était un rituel entre nous. Je l’attendais dans le lit conjugal, où je l’avais abondamment « trompé » avec Rachid. J’étais nue, le visage marqué par le plaisir, la chatte et l’anus débordants de sperme, mais j’en avais aussi sur le visage, les cheveux, les seins, les fesses. Notre rituel était que Philippe devait me nettoyer soigneusement en me léchant, en buvant le mélange de cyprine et de sperme qui coulait de mon vagin. Au vu de son érection, je savais combien il aimait ça. Quelquefois, je lui demandais de me fister immédiatement, ma chatte si bien lubrifiée et habituée désormais aux gros calibres appréciait tout particulièrement cette ...
    ... pratique brutale. Personne ne fait cela mieux que mon Philippe. Pendant ces pratiques, je l’excitais encore davantage avec les mots. Soit je lui disais tout mon amour : • Oh mon Philippe, je t’adore. J’aime tant quand tu m’embrasses, me caresses. J’aime tes mains sur mon corps. J’ai besoin de ta tendresse après m’être faite baisée comme une salope toute la journée. Merci de m’avoir poussé à être libre. Je suis l’épouse la plus heureuse du monde. Merci de vouloir mon plaisir et mon bonheur. Je l’encourageais à me lécher et à me fister : • Oh oui mon chéri, nettoie bien ma chatte, bois la semence de mon mâle. Tu aimes le sperme, petit pédé ! • Oh Philippe, vas y, mets ta main bien profond dans ce vagin où se vide mon mâle. Oui, bien au fond. Tu me tues ! Et bien souvent, je le dominais, le traitant de cocu, de pédale, lui promettant que Rachid lui casserait le cul. Je le finissais, soit en le sodomisant avec un gode ceinture, soit en le pompant. Nous prenions ensuite une douche ensemble, où il me caressait encore, me lavait, puis me faisait un massage. Epuisée par mes débauches quotidiennes, je m’endormais comme un bébé, nue, dans ses bras. Mon premier rituel du matin était de pratiquer sur lui une fellation et Philippe adorait ça. Philippe bénéficiait de mes récits, des comptes-rendus de Georges et de Rachid. Il voulait en savoir le plus possible. Il était allé jusqu’à aborder Rita et monter avec elle, pour qu’elle lui raconte le trio de ce fameux samedi soir et nos ébats lesbiens. ...
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