1. Le clic torride


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio,

    Cette fichue campagne à boucler dans l’urgence… Les bons à tirer à envoyer à l’imprimeur lundi première heure… On est vendredi soir, et ce week-end où je dois m’absenter m’interdit toute retouche jusqu’à lundi matin. Un coup de fil à l’agence de communication, j’ai la chef de projet en ligne. — Pour boucler, est-ce que je peux passer ce soir à l’agence ?— Désolée, je ne peux absolument pas rester. Normalement tout le monde est parti, mais si vous voulez toute de même passer, je consigne Sandra, notre infographiste, pour que vous puissiez travailler en direct avec elle dessus. « Travailler en direct avec elle dessus » … malgré moi, la tournure de phrase m’effleure dans un sens qui n’était pas intentionnel. Va donc pour travailler avec Sandra. J’arrive en retard, je sonne à l’interphone, Sandra m’ouvre. Je suis essoufflé d’avoir monté les marches quatre à quatre. Sandra m’accueille poliment mais sans enthousiasme. L’idée de passer une partie de son vendredi soir au boulot ne l’enchante visiblement pas. Dans le rôle du client emmerdeur, je tâche de détendre un peu l’atmosphère, en proposant un café… — Ce serait plutôt à moi de vous le faire, proteste Sandra.— Pas du tout, pas de perte de temps, ne lâchez pas votre souris, je m’en occupe. « Ne lâchez pas votre souris » … mais qu’est ce que j’ai ce soir à trouver un sens grivois au moindre bout de phrase ? Du coup je regarde Sandra en apportant les cafés. Elle est de dos, assise sur ces sortes de siège qu’on rencontre parfois ...
    ... dans les boîtes informatiques : l’assise est inclinée vers l’avant, comme une sorte de selle, et les genoux en contrebas appuient sur une planchette rembourrée : le tout permet au dos de se tenir bien droit, et répartit l’effort sur le bassin et sur les genoux, ce qui épargne les lombaires. Vêtue d’une jupe noire satinée au-dessus du genou, et d’un chemisier jaune clair dans la même matière, Sandra a de fait une posture qui m’apparaît soudain terriblement indécente : le dos très cambré, et les jambes écartées. Je m’imagine alors chercher quelque chose par terre, du côté de la planchette rembourrée qui soutient ses genoux, et avoir une vue directe sur son entrejambe largement ouvert. Je me plais à imaginer le genre de sous-vêtement qu’elle pourrait bien porter. Une sage culotte Petit-Bateau ? Un string très ajusté ? Une culotte volantée ? Je réalise tout à coup que Sandra me parle ; tout à mes rêveries scabreuses, j’ai dû avoir une absence, posté derrière elle, l’air hébété en tenant mes deux tasses de café… Que peut-elle penser de ce client soit disant si pressé qui semble rêvasser ? Je la regarde à présent ; elle s’est tournée vers moi en faisant pivoter son drôle de siège. Elle a le visage rond, avenant sans être vraiment joli, avec des lèvres pulpeuses, des pommettes saillantes, et des yeux noirs intenses soulignés au Rimmel. Elle a également une très belle poitrine qui tend son chemisier, heureusement sagement boutonné. Je devine les contours d’un soutien-gorge clair, sans ...
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