1. Le clic torride


    Datte: 13/10/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio,

    ... armature, marquant peu l’étoffe de son vêtement. Tout en buvant nos cafés, elle me détaille le visuel qu’elle travaille pour la campagne. Elle fait des gestes d’une main vers l’écran, en me parlant et en portant de l’autre sa tasse à ses lèvres. Je réalise soudain que je la désire, fortement et disons… visiblement. Pourvu qu’elle ne regarde pas dans cette direction. Je bouge sur mon siège, change de position pour dissimuler ma gêne, mais j’ai un mal fou à détacher mon regard de ce chemisier en satin - ma matière préférée - tendu comme une tente, brillant et chatoyant sous les spots de l’agence… Je me résous à me concentrer sur le boulot. Je fixe l’écran. Le visuel est assez sage et devrait nous ramener sur terre : pub pour bagnole plutôt classe, intérieur cuir, ronce de noyer… du solide et du classique. À l’intérieur un couple, plutôt jeune, c’est elle au volant, lui la regarde. Soudain, je réalise que la jeune femme porte une jupe noire et un chemisier satiné jaune pâle ! Je déglutis difficilement. — Je suis en train de travailler les postures et les tenues du couple, qu’en pensez-vous ? demande Sandra.— Je trouve la jeune femme ravissante.— Je peux vous la faire plus sexy, par exemple en raccourcissant sa jupe, dit Sandra d’un ton neutre ; et en même temps, je crois voir (mais je suis presque derrière elle) un sourire en coin se dessiner.— Essayez… Sandra s’attelle au travail, zoome sur les cuisses du mannequin, entreprend la retouche. Je l’observe ; elle est encore plus ...
    ... cambrée et bouge son séant sur la sellette du siège, comme si elle cherchait une meilleure position. Je suis au comble de l’excitation, mon souffle se fait plus court. Au moment où je tends ma main vers l’écran pour lui indiquer quelque chose, elle se retourne vers moi en pivotant le siège. Un instant, ma main effleure involontairement sa poitrine, le tissu satiné glisse sur ma paume. Furtivement, j’ai senti la pointe de son téton durci. Nos visages se retrouvent à vingt centimètres l’un de l’autre. Alors j’empoigne littéralement sa poitrine de ma main droite en malaxant généreusement ses seins, j’attire sa tête contre moi dans un baiser de feu. Elle gémit presque aussitôt, son excitation n’avait rien à envier à la mienne… Je passe derrière elle, toujours assise sur son prie-Dieu incliné. Je palpe sa poitrine d’une main, ses cuisses de l’autre. Tout va très vite tant l’excitation est forte. Je remonte jusqu’à son slip, et retrousse sa jupe (elle m’aide d’un léger déhanchement) pour profiter du spectacle. C’est une culotte blanche large, type boxer, encore en satin. Je la branle d’abord doucement, à travers le tissu, le frottement crée de petits crissements que j’imagine démultipliés sur son clitoris en feu. Avide, prenant ma main dans la sienne, elle emballe le mouvement, appuie très fort sur son sexe à travers le tissu, déjà complètement trempé. Elle jouit presque en silence, mais en tremblant de tout son corps. Elle repousse alors le clavier, la souris, les documents de ...