Cendrillon, souvenir de Corse
Datte: 16/10/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couple,
extracon,
profélève,
vacances,
plage,
amour,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
init,
... chaque sein et sur mon minou. Une chose est de sentir son regard en feignant le sommeil, autre chose est d’être debout devant lui dans cet espace réduit. D’ailleurs, sa main n’arrive pas à masquer la brutale érection que ma tenue lui inspire. Mystère du sexe masculin qui, ridiculement, me hante depuis mes premiers émois d’adolescente : métamorphose d’un bout de chair flasque en un pieu si long, si dur, presque minéral. Quand je dors aux côtés de Philippe, depuis quelque temps, depuis que ma sensualité s’exprime avec moins de retenue, j’adore, après l’amour, prendre sa virilité redevenue souple dans ma main, comme une gamine son nounours, pour dormir… (au risque, ou au plaisir, de sentir bientôt dans mes mains la chair se faire de nouveau rigide, renaître de son sommeil sous la pression de mes doigts). La voix amusée de Philippe me tire de mes rêveries, et je le sens réjoui du rouge qu’il distingue sur mon front, sur mes joues, et de l’effet que je produis sur Christian. « Allez, vous intervertirez les places après, ne rêve pas ainsi, Nathalie, dépêche-toi, on nous attend ! » (« «On» ? Qui ça, «on» ? », ne puis-je m’empêcher de penser ?) Évidemment, à part me laver les dents, je ne sais que faire devant le lavabo… Je ne vais quand même pas me peigner ou me maquiller avant de prendre ma douche. Je ne peux me retenir d’observer dans la glace le corps nu de Christian, dont le sexe est un peu retombé. Je fixe ses bourses, elles ont l’air lourdes, pleines de vie… Tout d’un coup, ...
... je constate que, sous l’effet peut-être de mon regard appuyé, son membre reprend du volume, et, horreur, je croise le regard souriant de Christian qui ne fait aucun geste pour cacher sa virilité orgueilleusement pointée vers moi. J’avale ma salive et murmure d’une drôle de voix : « Heu, je voudrais… la place, maintenant…» « Mais bien sûr », répond mon collègue, qui sort sans pudeur – il a décidément pris de l’assurance, après moins de vingt-quatre heures en Corse ! –, tout en se frottant les épaules à l’aide d’une serviette. Le croisement s’avère difficile, car il reste de profil contre le panneau de la douche. J’essaie de ne pas voir son sexe, et m’avance vers l’entrée de la cabine. Evidemment, il s’avance au moment où je passe, et sa verge durcie me fouette au passage hanche et nombril, me laissant sur la peau comme une douce éraflure. Et ce poids dans mon ventre qui réapparaît, et cette lourdeur dans mes seins qui se manifeste à nouveau…. J’entre dans la douche, et essaie de fermer le panneau de plexiglas dépoli. Bien évidemment, lorsque je le tire d’un coté, il s’entrouvre de l’autre… Finalement, je trouve une position où il ne baille que d’une dizaine de centimètres de chaque côté, ôte ma nuisette, la dépose sur le haut du panneau et ouvre grand l’eau chaude. Le ruissellement sur mon corps me fait du bien, me soulage de cette tension difficile à supporter depuis que Christian est arrivé chez nous. Je me demande si mon mari est vraiment conscient de la situation intenable ...