1. Les 101


    Datte: 17/10/2018, Catégories: fh, grp, fbi, hagé, fagée, jeunes, couleurs, asie, frousses, extraoffre, grossexe, forêt, campagne, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, aventure, initiatiq,

    J’engage les lecteurs à lire les chapitres précédents. Il faut, selon nos principes, rendre les rapports très fréquents entre les hommes et les femmes d’élite. Donc, nous instituerons des fêtes, là nous rassemblerons fiancés et fiancées, avec accompagnement de sacrifices et d’hymnes que nos poètes composeront en l’honneur des unions célébrées. Pour ce qui est du nombre d’unions, nous laisserons aux magistrats le soin de le régler de telle sorte qu’ils maintiennent le même nombre d’hommes - eu égard aux pertes causées par la guerre, les maladies et autres accidents - et que notre cité, dans la mesure du possible, ne s’agrandisse ni ne diminue Les yeux de Kellian observaient la scène macabre qui se déroulait à une centaine de mètres. À ses côtés, tapis dans la forêt qui jouxtait la plage, Julie et Jacques respiraient encore rapidement de leur course folle. Harris était également venu avec une jeune Africaine lorsqu’il avait entendu les hurlements. Les chasseurs, menés par Kellian, composaient le reste de la bande. Bien cachés dans les branchages, tous considéraient le spectacle qui se déroulait devant leurs yeux. Quatre indigènes, à moitié nus, attachaient une jeune fille de leur tribu à des pieux plantés solidement dans le sable. Les restes d’ossements à l’abandon indiquaient que ce rituel se répétait depuis de nombreuses années. Un sacrifice à quelques dieux primitifs. La jeune fille se débattait comme une folle. Entièrement nue, ses longs cheveux noirs collaient à sa peau ...
    ... brune. Ses seins, petits et en poire, s’étiraient à cause de l’écartèlement de ses bras. Ses tortionnaires avaient finalement ligoté ses quatre membres aux pieux. L’un d’eux prit une machette et commença à danser en regardant le soleil sans considération aucune pour les lamentations de sa jeune proie. — Il faut faire quelque chose, murmura Julie. Ils se regardèrent tour à tour et Jacques prit une décision : — Julie tu vas courir en hurlant de l’autre côté de la plage pour qu’ils te voient. Dès que tu auras fait diversion, nous foncerons sur eux. Je prends celui à la machette. Le sauvage levait dangereusement son arme et c’est à ce moment-là que Julie sortit de la forêt en hurlant comme une démente, sa longue chevelure rougeoyante dans l’air. Les quatre indigènes suspendirent leur sinistre rituel. Il n’avait jamais vu d’habitant sur cette île. Jamais, en tout cas, une femme blanche aux cheveux de feu, à moitié nue. L’un d’entre eux commença à courir vers elle. Rapide et agile, Jacques surprit le bourreau. Du tranchant de la main, il asséna un coup vif et puissant sur la carotide de ce dernier qui s’effondra d’un coup. Puis, le karatéka se retourna afin d’éviter le coup de poing d’un autre sauvage. Mais Harris lui sauta dessus par derrière et, aidé de deux autres hommes, ils l’assommèrent. Il en restait deux. Ils brandirent leur machette avec une dextérité qui ne laissa aucun doute sur leur capacité guerrière. Kellian s’était déjà élancé vers le poursuivant de Julie. Toute la ...
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