1. Les 101


    Datte: 17/10/2018, Catégories: fh, grp, fbi, hagé, fagée, jeunes, couleurs, asie, frousses, extraoffre, grossexe, forêt, campagne, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, aventure, initiatiq,

    ... doigts s’enfoncèrent dans la chevelure hirsute du brun. Puis la bouche de Catherine s’approcha avec précaution. Elle savait le moment décisif. Jacques était un homme aux appétits qui ne supportaient guère la disette et, de plus, leur union était inéluctable. Toute l’histoire de l’humanité avait convergé vers ce moment unique. Tout y concourrait. Catherine savait l’instant inévitable. Pourtant, elle discerna une faiblesse en elle. Une indécision surprenante. Toute sa formation au sein de la secte du Nouvel Éden l’avait néanmoins préparée à ce moment. La bouche de Jacques vint faire taire les atermoiements de la blonde qui s’abandonna dans les bras robustes. Ils s’enlacèrent doucement comme de vieux amants dont la tendresse a pris le pas sur la fougue des premiers jours. Une main de l’homme prit un des seins volumineux de Catherine qui se pâma de plaisir. Ses tétons durcissaient sous la caresse. Les doigts titillèrent avec agilité les extrémités dures. La Française se redressa et se blottit contre le corps de l’homme qui se serrait contre son dos et enfouissait son visage dans sa chevelure pour inhaler l’odeur de sa peau. Les deux mains puissantes emprisonnèrent les deux globes. Les hanches vigoureuses de la femme se rencognaient contre le bas-ventre de son amant qui bandait déjà. Depuis leur arrivée sur l’île, Jacques n’avait guère eu le temps de batifoler. Une rapide "altercation" avec Julie MacDowell n’avait assouvi que faiblement les besoins du Suisse, habitué à pléthore ...
    ... de sexe. Se retrouver seul avec cette femme dont les talents amoureux l’avaient déjà amplement comblé… Jacques bandait. Et puis, toute sa formation au sein du Nouvel Éden l’amenait à cet instant. Tout tendait vers cela. Même son sexe. Les doigts fins de Catherine palpaient avec minutie l’entrecuisse du brun qui malaxait fiévreusement l’opulente poitrine. Seuls au beau milieu de la forêt, rien ne viendrait les déranger. Un hululement s’éleva. Tranchant et clair, il perfora le silence. La verge était à présent entre les mains expertes de Catherine qui se retourna pour la mettre dans sa bouche. Suceuse de talent – car gourmande de la queue – la Française voyageait sur toute la longueur de la hampe avant de s’attaquer au gland vermillon qui piaillait d’impatience. Jacques observait la longue chevelure blonde s’abaisser régulièrement sur son bas-ventre. Puis, il entreprit la belle aux larges hanches – la bouche avide corrompait son flegme. Il la bascula en arrière à même les feuillages et la mousse abondante. La blondeur des cheveux s’immisçait sur le sol verdoyant. Les seins à l’air, Catherine rit de la fougue soudaine de son amant et s’enorgueillit de son opérante fellation. Mais déjà le bougre s’engouffrait entre les cuisses écartées et le pauvre short en haillon de la Française ne résista pas longtemps. La langue vorace darda sur-le-champ le clitoris. La blonde se raidit puis s’assouplit lorsque la bouche embrassa, avec douceur, ses lèvres déjà humides. Catherine gémit sous les ...
«1234...13»