1. Les 101


    Datte: 17/10/2018, Catégories: fh, grp, fbi, hagé, fagée, jeunes, couleurs, asie, frousses, extraoffre, grossexe, forêt, campagne, fête, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, échange, aventure, initiatiq,

    ... participer. Ils se dirigèrent vers la viande et se régalèrent du jus succulent qui en coulait. Un homme approcha d’Ella et lui caressa les épaules. Mais cette dernière se refusa gentiment, sans méchanceté. Elle l’embrassa toutefois avant qu’il ne reparte. Elle sourit à son mari qui ne savait pas trop comment réagir. D’autres, souvent des couples, prirent de la nourriture et montèrent un peu sur les collines qui cernaient l’autel de l’orgie pour s’asseoir et admirer la fraternelle union qui se déroulait sous leurs yeux. Jigoro et Mikyo se regardèrent silencieusement un moment avant de se déshabiller en s’embrassant, et comme le Japonais fut accaparé par une magnifique jeune femme aux cheveux blonds, sa femme se retourna vers le centre et rejoignit Jacques qui s’était agenouillé et caressait lentement les corps de Catherine et de la femme aux cheveux grisonnants. La Japonaise, au corps si petit, si délicat, s’agenouilla également et se blottit contre le corps tout chaud du Suisse qui ne savait plus qui caresser. Il la regarda un instant en lui souriant gentiment et l’embrassa. Il sentit les petites mains de l’Asiatique se mêler à celles de l’autre femme sur son bas-ventre et dont le tâtonnement n’avait pour but que d’atteindre le sexe en pleine érection. Catherine regardait la Japonaise qui tantôt embrassait Jacques tantôt examinait son époux aux prises avec une blonde visiblement très entreprenante. La Française rejoignit Jigoro en souriant de loin à Mikyo et derechef prit la ...
    ... verge tendue du Japonais pour la sucer. Le brasier chauffait les peaux. Il illuminait la scène et procurait une certaine forme d’intimité. Jamais on aurait pu imaginer cela. Autant de monde rassemblé se donnant mutuellement du plaisir pour communier ensemble à l’édification de leur jeune communauté. On mangeait goulûment en offrant au feu les restes. On examinait l’enlacement des corps, ces imbrications improbables de jambes, de bras, de seins, de sexes, de mains, de cheveux, de langues, de peaux. On riait à gorge déployée en s’embrassant, en se congratulant. Peu à peu, une clameur sourde et grave montait. Ça et là des amas de chair se formaient, se défaisaient. On caressait. On s’amusait. On donnait. Une communion extatique vibrait et grondait prenant chaque être par les tripes et provoquait des démangeaisons qui laisseraient une cicatrice indélébile sur les sensibilités des 101. Jacques avait pénétré la petite Mikyo avec lenteur, comme pour être en harmonie avec la danse pondérée du feu. Allongée sur le dos, le corps chauffé par le brasier, la Japonaise sentait l’agréable sensation de son étroit fourreau s’écartant sous l’avancée de la verge. Elga, à ses côtés, embrassait le Suisse depuis un moment en flattant sa musculature saillante. Elle pressait son pubis sur la cuisse ferme de l’homme qui s’enfonçait avec rythme dans le vagin de Mikyo qui commençait à lâcher des petits cris aigus. La parole n’est rien, tout est dans l’action. Ce soir-là, la communauté connut réellement ...
«12...91011...»