1. La mère de ma copine Elodie (7)


    Datte: 18/10/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... plus lui donner. Le fait qu’elle ne s’arrête pas, alors que je venais de me vider sur sa langue, commençait à devenir infernal, pour ne pas dire insupportable. Maintenant en plus de son regard coquin, il y avait un sourire gourmand, elle avait l’air satisfaite de ce qu’elle venait de me faire. Elle a continué à me sucer encore quelques minutes, comme si elle voulait effacer toute trace de ce qu’elle venait de me faire. J’étais toujours en train de lui caresser les cheveux, et j’aurais été tenté de lui retirer sa bouche de mon sexe, mais finalement le plaisir prenait le dessus. Maintenant qu’elle estimait que mon sexe était suffisamment nettoyé, c’est avec un grand soin qu’elle s’en est retirée, mais surtout qu’elle l’a rangé dans la douce culotte où il était domicilié. J’étais impressionné par la délicatesse qu’elle employait pour manipuler mon outil, une fois bien rangé dans la culotte, elle a refermé les boutons du pantalon. Elle s’est redressée, puis a réajusté sa jupe avant de venir m’embrasser. Il y avait encore un tout petit goût de sperme dans sa bouche, mais là aussi elle avait tout avalé, je pense que si son mari l’avait embrassée il n’aurait pas discerné le petit goût amer. Mais au fait, était-elle mariée ? Après ce qu’elle venait de me faire, je ne sais pas ce qui m’a pris, je l’ai plaquée contre moi et de ma main droite je lui ai saisi sa jambe gauche, dont j’ai pu savourer la douceur, pour la soulever et la plaquer contre moi. — Alors mon petit coquin, tu as ...
    ... envie de me baiser. Ses propos étaient déroutants et me faisaient systématiquement perdre la face. — J’aurais bien voulu moi aussi, mais cela fait longtemps que nous nous sommes absentés. — Il ne faudrait pas attirer l’attention. lailddyu Je me suis donc limité à lui caresser la cuisse de haut en bas, au niveau de la naissance de son bas, j’en arrivais à me demander qui, de sa peau ou de son bas, était le plus doux. Si je m’étais écouté, nous aurions inversé les rôles, je l’aurais plaquée contre le mur pour fermement la pénétrer en ayant écarté son tanga tout doux et surtout tout mouillé. Cette femme savait ce qu’elle voulait, il n’était pas question qu’un homme lui dicte ce qu’elle devait faire. J’étais aussi en train de réaliser, qu’à force de se frotter contre moi, j’allais me retrouver avec l’avant de mon pantalon tout mouillé de cyprine. Finalement, nous sommes partis retrouver les autres convives, pour ceux qui avaient l’œil, nous nous sommes trahis par la lumière qui nous a éblouis tous les deux. J’ai échangé un regard complice avec Geneviève et Christiane en a fait autant. Il n’y a pas à dire, ma future belle-maman savait ce que nous venions de faire, je pense même qu’elle devait savoir que je le ferai avant que je rencontre sa collègue. Je suis parti de mon côté voir ma fiancée, pendant que Geneviève s’est mise à converser avec Christiane. Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai eu la nette sensation que mes oreilles sifflaient, allez savoir pourquoi. — Tu as les yeux ...
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