Consultation médicale particulière
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
f+medical,
... Je compris leur intérêt lorsque je constatai en sortant de l’établissement, que sous l’effet de la transpiration, la robe de Laure était restée collée et dévoilait le haut de ses cuisses. Regardant de plus près, la transparence liée à l’humidité ne cachait que peu de chose de sa culotte, donc de ses fesses ! D’un geste rapide, je remédiai au « problème ». Le regard de Pierre n’avait rien d’équivoque ! Il avait également bien profité de la situation ! Après une demi-heure de route qui s’apparentait plus à de la piste, nous arrivâmes dans un village. Un bâtiment « en dur » trônait sur la place centrale avec une inscription « dispensaire » qui devait dater de l’époque des colonies ! Nous entrâmes tous les trois. Effectivement, quelques chaises occupées sur notre droite, un bureau et une table d’auscultation au fond, un lavabo étaient le seul mobilier de cette pièce d’environ quarante mètres carré. Un ventilateur tentait de brasser l’atmosphère suffocante de ce lieu. Sur les chaises étaient assis trois hommes, une femme et un jeune garçon d’environ douze ans. Au bureau, le médecin en blouse blanche immaculée nous vit entrer et nous invita immédiatement à nous approcher, les blancs étant toujours prioritaires, nous précisa Pierre. Deux chaises face au bureau nous permirent de nous asseoir Laure et moi, Pierre préférant rester debout. Aussitôt le médecin nous demanda l’objet de notre visite et nous lui demandâmes simplement un rendez vous pour Laure en lui expliquant l’objet de ...
... nos inquiétudes. Sans que nous n’ayons pu dire quoi que ce soit, il se leva en annonçant : — Eh bien, allongez-vous, madame, nous allons voir ce qui ne va pas ! Ma femme nous interrogea du regard, Pierre et moi ! Pierre, sentant son hésitation, la rassura en lui disant : — N’ayez pas peur, c’est comme cela ici, il va voir ce qu’il peut faire et vous reviendrez si besoin ! Quelque peu rassurée, mon épouse suivit le médecin jusqu’à la table d’auscultation. Sa robe était encore collée à mi-cuisses et les hommes assis avaient leur regard rivé sur le spectacle (Pierre aussi d’ailleurs). — Allongez-vous, madame, et dites-moi si je vous fais mal ! Laure était allongée sur la table de consultation, sans aucun paravent, à la vue de tous, les jambes orientées vers la porte d’entrée, donc face aux patients ! Le médecin commença à palper le cou de Laure, puis descendit sur son abdomen. Là, Laure fit une grimace. Les mains insistèrent et descendirent encore plus bas. Laure poussa un petit cri lorsque les doigts du praticien explorèrent son aine. — Bon, dit-il, je vais vous prendre votre tension ! Sans hésitation, il fit sauter les quatre boutons de sa robe et ouvrit largement le frêle vêtement, découvrant ainsi la poitrine de Laure toujours blottie dans les frêles bonnets de son soutien-gorge en dentelle transparente. De ma place, je voyais le contour de ses mamelons brun foncés. Il saisit le stéthoscope et commença à ausculter mon épouse. Sa main se promena du cou au ventre en évitant la ...