Consultation médicale particulière
Datte: 19/10/2018,
Catégories:
fh,
couleurs,
campagne,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
f+medical,
... poitrine dans un premier temps. Il lui demanda de tousser, d’arrêter de respirer. À un moment, il s’arrêta un instant, puis glissa son appareil sous le bonnet gauche de Laure. Il était très serré et le praticien avait du mal, aussi, sans aucune hésitation, il tira le sein gauche de sa cache, mais le soutien-gorge voulait remonter, alors il le glissa entièrement dévoilant les deux seins de mon épouse aux témoins qui n’en rataient pas une miette, Pierre également. Je remarquai une bosse révélatrice du plaisir qu’il prenait à découvrir les mamelles de ma femme ! Ses seins pointaient fièrement et Laure paraissait très embarrassée d’être exposée comme cela. L’auscultation se poursuivit, et le stéthoscope fut vite remplacé par les mains qui entamèrent une palpation en règle de cette poitrine offerte. Cela dura longtemps, très longtemps, et toujours dans un silence absolu. Enfin, il lui demanda de se mettre sur le ventre, ce qu’elle fit. De suite, l’attache du soutien-gorge sauta et les seins furent complètement libres. Le stéthoscope fit de nouveau son office : — Toussez, arrêtez, retenez votre respiration, toussez… levez vous ! Laure semblait rassurée, l’examen devait être terminé. Elle se leva et se retrouva debout face au médecin et reprit son soutien-gorge afin de le remettre, mais de suite, le médecin lui fit signe de s’arrêter. L’ouverture du haut de la robe était telle que cette dernière avait une fâcheuse tendance à glisser et Laure avait du mal à la garder sur elle. Cela ...
... serait vite être réglé car l’ordre suivant allait de suite répondre au problème : — Retirez votre robe, s’il vous plaît ! Là, je vis le visage de Laure se transformer ! La panique se lisait sur son visage. Déjà les seins à l’air, il fallait aussi qu’elle exhibât son ventre, ses cuisses ! — Allez, dépêchez vous, d’autres malades attendent ! Cet ordre était sans appel et Laure s’exécuta. La robe glissa doucement pour rejoindre le sol. Pierre n’en perdait pas une miette ! La bosse de son pantalon en témoignait. J’avoue moi-même avoir été assez excité ! Laure était debout, en culotte ! Mais la consigne suivante allait achever le reste de pudeur de ma femme : — Retirer aussi votre culotte, madame ! Comme une automate, ma femme roula sa culotte sur ses cuisses dévoilant sa toison brune bien entretenue. Elle prenait soin de son apparence. Je souhaitais qu’elle conservât un pubis velu, mais le sexe rasé de près. Nue comme un ver, aux ordres du médecin, elle se rallongea sur la table d’auscultation. Là, le praticien lui leva les jambes pour les positionner dans les étriers. Tout le monde avait maintenant une vue imprenable sur l’intimité de mon épouse. Ses lèvres intimes, légèrement ouvertes par la position des cuisses, étaient scrutées par tous les yeux de la salle. Le médecin alla droit au but ! Sans aucune protection car il n’a pas de gants, il ouvrit le vagin de Laure d’une main et glissa un doigt dans la fente offerte. Il la doigta longtemps, très longtemps, un doigt, puis deux ! ...