1. Commande - Un


    Datte: 20/10/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail plage, intermast, Oral pénétratio, coprolalie, exercice,

    ... faisait nuit, mais la lumière de la lune éclairait bien la scène.— Séverine, Gérard et Michel ont une question à te poser.— Ah bon, et c’est quoi, votre question ? Gérard se lança : — Tes seins nous rendent fous. Est-ce que tu accepterais de nous les montrer ?— Quoi ? C’est quoi ce délire ! Vous êtes gonflés, les mecs ! Je rapprochai ma bouche de l’oreille de Séverine et lui murmurai : — Tu te souviens d’hier soir, ce que tu m’as dit ? Commence donc par leur montrer tes seins, tu ne risques pas de perdre à ce jeu. Elle ne répondit pas tout de suite, puis : — D’accord, mais pas touche ! Les deux, en chœur : — Mais bien sûr que non !— Attends, Séverine, je t’aide. Elle ne bougea pas, se laissa faire. Je lui ouvris le soutien-gorge, en passant mes doigts dans son dos, sous le tee-shirt, puis empoignai le tee-shirt par les côtés pour le lui retirer par-dessus le haut. Elle ne résista pas : ses bras se levèrent pour accompagner le mouvement. La poitrine apparue, encore couverte par les bonnets. — Ce n’est pas le soutien-gorge qu’on veut admirer, dit Michel, c’est ta poitrine. On peut te l’enlever ?— Vous aviez promis de ne pas toucher ! Diabolique, j’intervins : — Eux oui, mais pas moi. Laisse-moi faire. Et je fis glisser les bretelles sur ses épaules et la débarrassai du vêtement. Les seins apparurent, blancs, superbes, gonflés, tentants. Toujours derrière Séverine, je passai mes deux mains sous les globes pour les soulever et les mettre bien en évidence sous les regards de ...
    ... Gérard et Michel, hypnotisés par la poitrine arrogante. Ils s’approchèrent : — Des seins pareils, c’est une bénédiction, dit Gérard.— Vous aviez promis de ne pas toucher ! répéta Séverine sans trop de conviction.— De ne pas toucher oui, mais pas de ne pas caresser. Et pourquoi lui a-t-il le droit et pas nous ? Les deux hommes étaient maintenant quasi contre elle. Leurs mains se posèrent sur les seins offerts. Chacun s’empara de l’un d’eux. Les caresses arrivèrent. Séverine ne fit même plus mine de les repousser. Un homme contre elle dans son dos, deux hommes contre son ventre, c’était une expérience qu’elle n’avait jamais connue, avec plein de sensations nouvelles. Les quatre mains de devant ne chômèrent pas : soulevant, englobant, caressant. Les doigts agacèrent les mamelons durcis, les titillant, les pinçant, les roulant. Séverine perdait pied. Les hommes autour d’elle savaient visiblement s’occuper d’une femme que l’excitation commençait à gagner. Avec de plus, les paroles qu’il fallait : — Tu as des seins superbes.— J’aime tes seins, ils sont doux comme du velours.— Avec des seins pareils, tu fais durcir nos bites. Deux bouches s’emparèrent de ses mamelons, les suçant, les mordillant. Séverine crut qu’elle allait défaillir. Les deux hommes étaient maintenant si près d’elle qu’elle sentit sous leurs shorts leurs membres appuyer contre ses cuisses. Instinctivement, ses mains descendirent pour effleurer les protubérances durcies. Elle n’eut pas l’envie de les retirer, mais au ...
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