Un inconnue découvre un paria dans sa famille (7)
Datte: 04/08/2017,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... avant, selon tes règles et ne plus laisser des femmes du genre de ta sale gamine foutre le bordel. » « C’est clair et c’est exactement ce que je vais faire. Vous le verrez dans ma prochaine annonce. » Il se faisait tard, un petit dormait déjà du sommeil de l’innocent. Sidonie et Gisèle me prennent par la main. Nous montons nous coucher, le temps de prendre un peu de plaisir. Cette fois, je suis le premier debout. Alors que je me douche, une main glisse sur ma queue, un visage rayonnant passe derrière le rideau. Ma Sidonie pose ses lèvres sur mon gland. Je la soulève, ses membres m’enlacent, je guide ma queue en elle. Nous voilà amoureux comme si c’était la toute première fois. Gisèle nous sait sous la douche, elle me fait coucou de sa main et disparait. J’emporte ce corps mouillé dans la chambre, le couche. Je lui fais la totale, reprenant au début, les préliminaire. Autour de la maison, on peut entendre nos ébats incestueux. Je l’avoue l’idée, le faire, la faire jouir, jouir après elle en pensant que c’est ma nièce m’excite. Avec elle, je suis capable de prodige, comme avec Isabelle. Nous y passons toute la matinée avant je ne lui demande, dans le creux de son oreille si elle ne voulait pas passer de mademoiselle à madame. Il fallait que je lui fasse cette demande, ma santé mentale en dépendait. Quand elle accepte après un le moment de surprise, je me sens dans une force herculéenne. Et je repars de zéro, préliminaire interminable, plaisir à répétition pour ma future, ...
... pénétration, sodomie, je lui sors le grand jeu pour la seconde fois. Nous venions de jouir encore ensemble quand son estomac cria famine. Nous avons ri comme jamais, tous les deux. Un rire si pur, si merveilleux. Il effaça toutes mes craintes, mes angoisses en même temps. Une libération, vous dis-je. En bas, on se goinfra de tout ce qu’on trouvait. Gisèle avait même parfois de la peine à nous suivre. Sidonie l’invitait sur ses cuisses pour la nourrir comme un bébé. À la porte, un bonjour attira nos regards, un bonjour féminin, jovial, Martine est de retour, juste au bon moment pour que Sidonie hurle que je l’ai demandé en mariage. Derrière Martine arrive le toutou et, zut, une femme, jeune, belle, portant un collier de cuir, un anneau à son nez, bien au centre. Sa peau est noir, mat, je devine une poitrine exquise, un cul diabolique, un corps à damné le plus virulent de misogyne. Elle porte une robe si ample que je n’arrive qu’à me faire une idée, en fait, mais je devine. Après le moment des retrouvailles euphoriques, Martine s’avance vers moi, tenant cette belle femme en laisse. « Nous avions un dette pour avoir rallumer la flamme entre mon toutou et moi. Grâce à toi, on a effacé le mot divorce de notre tête. Je te présente Yvana, malgré sa couleur de peau, elle est de ton pays. Nous lui avons parlé de toi, tout raconté de toi, Sidonie, Isabelle et Paul. Nous lui avons raconté tes sévices, les orgasmes prodigieux que nous avons pris grâce à toi. Je te la confie, nous aimerions que ...