1. Un inconnue découvre un paria dans sa famille (7)


    Datte: 04/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... tu l’éduque, en fasse la femme qu’elle désire être. Et si elle te plait, elle est à toi. Elle est d’accord ! » « Yvana, bienvenue. Il me faudra tout savoir de toi, de tes désirs, de tes fantasmes. Si je comprends bien votre retour au pays… » « Non, tu connais notre nom de famille, il est lié à une autre famille, une grande famille. Nous devions rentrer, mon toutou avait perdu son grand-père. » Martine m’embrasse goulument et « Je dois t’avouer que je suis un peu jalouse que tu épouse cette belle jeune femme, mais juste un peu. » De toute manière, si elle avait voulu coucher, j’en étais bien incapable. Le toutou me fit enfin hommage en baisant mes pieds, léchant mes orteils. Je pris place sur une chaise, sous le regard de cette beauté noir. D’un geste, elle laissa glisser sa robe, dévoilant un corps somptueux garnit d’un superbe corset rouge vif. Je lui fis signe de s’approcher. Je saisis cette laisse accrochée à son nez, l’écartais, posais ma bouche sur la sienne. Elle ne refusa pas, sa langue fouillait déjà ma bouche. Déjà bien éduquée cette petite. Elle m’abandonne son corps très beau. « Tu as quel âge ? » « 20 ans depuis six jours, monsieur ! » « Bien, déjà en main, éduquée ? » « Non monsieur, juste la rencontre avec Madame Martine et son mari et votre histoire. Ils ont tout fait pour que je sois prise d’une folie amoureuse pour vous. » « Bien, très bien. Martine, elle est réellement magnifique. Tien, où est Gisèle ? » On la chercha partout, on ne trouva qu’un mot. Un ...
    ... mot dans lequel elle nous dit vouloir retourner reprendre une vie « normal ». Partir sans un adieu, ça me vexe terriblement. Je devine sa frustration, la quarantaine face à Yvana, Sidonie, jeunes femmes belles comme des cœurs, Isabelle et Martine, tout aussi sublime que ma Sidonie, mais de manière différente. Son départ gâche notre joie, je m’en veux à quelque part. J’avais pourtant une lueur d’espoir pour la retrouver. Je pris Yvana et Sidonie avec moi. Dans la voiture, je me dirigeais vers la banlieue pauvre. J’y étais déjà venu avec Gisèle. Je trouvais vite cette cabane délabrée. J’ai frappé, c’est elle qui a ouvert. Un coup de sang, je la gifle. Elle pleure, je la serre dans mes bras. « Pauvre conne, comme si tu ne savais pas que je pouvais te retrouver. Mais pourquoi ? » sijjur « Parce que je suis folle de toi, tout simplement. » « Et alors, j’ai Sidonie comme j’aime ma sœur, comme je t’aime. Le mariage, c’est juste parce que Sidonie et moi avons besoin de nous cimenter l’un à l’autre. Sinon, rien ne change, tu pige, rien ne change. Je l’ai dit pourtant, hier soir. Reviens sinon je t’enlève de force et tu passes un mois dans la bâtisse et attachée ! » Sidonie et Yvana sont justes derrière moi. Sidonie m’écarte de sa douce main, enlace Gisèle en lui disant que j’ai raison. Yvana se colle à mon dos. « Alors, Madame Martine avait raison, vous êtes réellement amoureux de celle qui se donne à vous ? » Je me retourne en lui souriant. Je l’embrasse sur ses joues, son petit nez. ...
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