Le pot de départ (3)
Datte: 21/10/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Suite : « Julien, as-tu déjà songé à baiser ta directrice ». Cette phrase résonna dans ma tête comme un coup de masse et provoqua chez moi une petite crise de panique tant je n’y croyais pas ! J’essaie alors de répondre, certainement en ayant l’air d’un gros débile : — Hein ? Je… ne comprends pas… — C’est vrai que c’était vague, comme question… Je reformule : est-ce que ça te dirais de me baiser, ici et maintenant ? — Ah, très drôle !! dis-je comme pour me défendre d’une situation qui m’échappait complètement. C’est une sorte de bizutage de fin de contrat, c’est ça ? Et alors que je me lève de ma chaise, elle me retient : — Quoi ? Je suis très sérieuse ! — Bien sûr… Et je vais me mettre à poil et, à ce moment, les autres collègues surgiront dans le bureau, ou un truc du genre ! — Et si je ferme le bureau à clé et que je te jure sur la vie de mes enfants que ce n’est pas une blague ? Me voyant douter de moi et ne plus savoir sur quel pied danser, elle insiste. — Julien, tu es un bel homme, jeune et viril. Tu m’a toujours plus, sauf que, comme tu l’as dit, j’étais mariée. Je ne le suis plus, toi, tu es toujours célibataire et j’ai envie que tu me saute. Ma question est : est-ce que ça te branche ? — Séverine, tu es une superbe femme… Mais, je ne crois pas que ce soit une bonne idée. — Et si je te dis que tu pourras me faire ce que tu veux ? — Ce… ce que je veux ? — Tout ce qui te passera par la tête. Tout ce que tu voudras, là où tu voudras. Et, rassure-toi, plus c’est trash, ...
... plus j’aime ça ! — Bordel… c’était donc vrai… dis-je tout haut alors que je ne voulais que le penser. — Les rumeurs à mon sujet ? Oui, toutes vrais mais tellement en dessous de la réalité ! Mes vieux fantasmes pour cette femme remontaient en moi et l’excitation de cet après-midi revenait à vitesse grand V. Je bandais déjà dur. Mais, conscient du caractère fort peu probable d’une telle situation, je préfère rester prudent : — Séverine, tu es ma patronne et une femme respectable. Je ne peux pas croire ce que tu me dis. Tu joues avec moi, là ! — Tu veux une preuve ? Demande-moi ce que tu veux et je m’exécute. — Vraiment ? Voyons… dis-je en étant encore pas tout à fait sûr de moi. Montre-moi ta culotte ! — C’est ça ton challenge ? Elle remonte alors sans hésiter sa jupe devant moi et me montre son superbe string. Pour elle cela semble si simple mais pour moi, c’est un mini infarctus à la simple vue du sous-vêtement de ma directrice ! — Ensuite ? me demande-t-elle — Enlève ton string et donne-le-moi. Elle baisse alors son string, me révélant au passage un sexe parfaitement épilé et le début de la fente de son vagin (mini infarctus, encore). Puis elle me le donne. En le prenant, je constate qu’il est moite et que la partie à l’entrejambe est enduite de mouille. Elle voit ce que je regarde et commente : — Oui, il est trempé. J’ai commencé à mouiller à la minute où tu es entré dans ce bureau. Alors maintenant, tu vas me faire ma fête ! — Je veux encore vérifier un truc. Je m’approche ...