1. Le pot de départ (3)


    Datte: 21/10/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    ... fait mettre à genoux. — Ouvre grand la bouche !! Et t’as pas intérêt à la refermer ! Séverine s’exécute et ouvre bien sa bouche de pute. J’y enfonce ma bite le plus loin possible et constate, à peine surpris, qu’elle peut m’avaler entièrement sans sourciller. Mais je ne me démonte pas : je lui plaque la tête contre le mur et lui baise la bouche comme je ne l’ai jamais fait à quiconque. Ma bite dans son gosier créé un bruit de déglutition affreux et de grands fils de bave se créent lorsque je la sort. J’étale cette bave sur le visage de Séverine et lui crache dessus en l’insultant de salope puis lui défonce la bouche à nouveau. Je m’enfonce en elle et lui ferme le nez avec deux doigts jusqu’à ce qu’elle devienne rouge, puis la libère. Je la relève et lui demande : — C’est assez bestial à ton gout, petite pute ? — C’est… pas… mal, me répond-elle, essoufflée. — Ne t’inquiète pas, je ne suis pas encore chaud ! Je lui retire sa veste et lui déchire sa chemise. Je baisse sa robe mais lui laisse ses bas et ses talons. Je la prends par les cheveux et la traine vers son bureau. Je la fais s’allonger dessus. — Prends tes jambes et écartes-les le plus possible ! Elle met ses mains sous ses genoux et écarte au maximum ses cuisses. Sa chatte est offerte à moi, dégoulinante de mouille, ce qui me confirme qu’elle aime le traitement que je lui inflige et qu’elle veut que je continue. Mais pas quoi commencer ? J’ai à la fois envie de la baiser, de l’humilier, de la faire jouir, de la faire ...
    ... souffrir… Je décide simplement de suivre mes envies comme elles viennent sans me soucier d’elle. Si elle veut que je la traite en objet, elle va être servie. J’enfonce trois doigts dans sa chatte et la branle puissamment. Puis je les retire et les remplace par mon sexe. Je la baise à mon gout et à mon rythme, parfois en l’enfonçant lentement pour profiter du vagin de ma directrice, parfois en la limant comme un fou. Séverine semble en profiter car elle crie de plaisir en tirant la langue et en se pinçant les tétons. A nouveau, j’ai envie de lui faire mal. Je me penche sur elle et lui serre la gorge avec ma main. Je resserre progressivement mon étreinte et la vois ouvrir en grand les yeux. J’attends que son visage devienne pivoine puis je relâche son cou et l’embrasse goulûment. Elle répond à mon baiser sans réserve, enfonçant la langue loin dans ma bouche. Elle adore le traitement que je lui impose, c’est clair ! Je me retire d’un coup et commence à la lécher. J’insiste sur son clito, lui bouffe littéralement les lèvres et enfonce ma langue dans son intimité. Je me redresse et la pénètre à nouveau, lui arrachant un nouveau cri de plaisir. Je me retire encore après l’avoir limer généreusement et contourne le bureau pour aller me faire sucer. Pour moi, une fille suçant une queue sortant tout juste de son sexe est une sorte de limite qu’aucune de mes copines n’a jamais franchie. Mais cela ne gêne absolument pas Séverine qui avale ma bite sans hésiter. — Je suppose que sucer des ...