Découvrir la femme, ou la douce initiation d'un jeune homme.
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
fhh,
fplusag,
couleurs,
couplus,
extracon,
grossexe,
Voyeur / Exhib / Nudisme
À 50 ans, je lis certaines histoires. Et si quelques-unes sont assurément de purs et beaux délires, il en est d’autres qui sont chargées de vérités et d’émotions. Celles-là sont alors une porte ouverte à vos propres moments vécus. Ceux que je vous livre ici me reviennent à cause de Marie et Alain, deux coquins… Jeune, il m’était déjà arrivé d’embrasser et d’avoir quelques flirts poussés avec une ou deux filles. Il n’était pas facile pour une fille de sortir avec un homme de couleur comme moi. J’avais en tout cas réussi à 18 ans à en connaître une (plus âgée que moi) avec qui j’ai pu - conclure: je n’étais plus un puceau… Cela s’est passé à la fin d’une année scolaire et en profitant de l’absence de ses parents, nous avions pu faire l’amour à trois reprises. La fille a joui de mes caresses, plus qu’avec mon sexe… J’allais sur mes dix-neuf ans au moment de cette aventure qui me révéla le corps de la femme… J’avais un responsable, Jean-Claude (35-40 ans), qui s’occupait de mon équipe de foot depuis trois ans déjà. Il passait me prendre ou me déposer à la maison après les entraînements. Il avait pour moi une sorte d’affection d’autant plus forte que j’étais un bon joueur, qu’il me chouchoutait depuis mes 16 ans… Quelquefois, c’est moi qui allais chez lui, ce qui me permit de connaître sa femme Élise et de la voir habillée plus simplement et je reconnais qu’avec le temps et l’âge aidant, je ne manquais aucune une occase de la mater. Elle me paraissait plus belle que lorsqu’elle ...
... se rendait au stade avec son mari : elle suscitait mon désir pour des masturbations délirantes, surtout depuis mon dépucelage … Jean-Claude était un homme très jovial et prévenant : il savait nous mettre en confiance pour un match, et je savais aussi qu’il aimait sa belle femme car souvent nous l’avions vu l’embrasser ou la tenir près de lui pendant nos journées de foot. Il nous rendait fréquemment visite dans les vestiaires et même dans les douches pour nous taquiner et fêter nos victoires…Comme j’étais doué pour marquer des buts, il n’hésitait pas à me faire des cadeaux pour me remercier. Je n’y trouvais donc rien d’anormal, cela s’étant produit plusieurs fois. Un soir, après l’entraînement, il vint me chercher dans le vestiaire dont j’étais souvent le dernier à sortir… Il me regarda m’habiller et finit par me dire en riant : — Charlie, tu deviens un vrai homme et tu es bien doté par la nature, elles doivent être contentes, tes coquines. J’ai rougi et il me dit : — Tu sais, j’entends parler tes copains. Ils sont un peu impressionnés… Je me tus et il riait encore de ma gêne mais j’osai lui dire dans la voiture que j’avais un peu honte et même peur de mon sexe que je voyais blesser les filles, peur qui provenait de quelques nanas qui ont fui quand elles m’ont senti bander contre elles… Il rit de plus belle : — Attends d’être un peu plus grand et tu verras qui sera obligé de fuir… Et ce soir-là, j’eus le sentiment que je pouvais me confier à un homme, un ami qui ne se moquerait ...