Découvrir la femme, ou la douce initiation d'un jeune homme.
Datte: 22/10/2018,
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Voyeur / Exhib / Nudisme
... pas de moi… Car je sentais ses rires comme très amicaux et ses réponses regonflaient à bloc ma confiance… Un jour, j’ai pu lui parler de mon aventure avec cette copine tout en lui expliquant mon insatisfaction dans la mesure où j’avais éjaculé trop vite lors de ces rapports… Il rit encore : — Le plaisir avec une femme, c’est comme le foot mon garçon, il faut aimer le ballon, ne t’inquiète pas tu apprendras un jour…. Un soir, je m’étais blessé à la cheville et à la cuisse. Je traînais un peu la jambe. Je m’appuyai sur lui, direction son domicile pour des soins. Et me voilà, de nouveau en slip dans sa salle de bain et en présence d’Élise qui aida son mari. Je fus massé et bandé. Heureusement que mon long tee-shirt cachait mon début d’érection car dans ses mouvements, Élise ne se rendait pas compte que sa robe de chambre me laissait un paysage troublant : ses seins à peine cachés pas sa chemise de nuit à bretelles… Ce soir-là, mes pensées étaient toutes vers Élise… Un jeudi de novembre vers 18h, alors que je me présentais chez Jean-Claude, Élise m’ouvrit, et m’indiqua qu’il n’était pas encore là, mais qu’il allait arriver sous peu. — Tu n’as qu’à entrer l’attendre si tu veux, dit-elle en s’effaçant de la porte. J’entrai et posai mon sac dans le couloir. Elle m’invita à m’asseoir dans la salle à manger. Élise était une femme d’environ 35-40 ans, jolie blonde au visage arrondi, les seins assez volumineux. À presque 17 ans, j’avais grandi et pris la même taille qu’elle ...
... (environ 1,70 m) et je la regardais à présent comme un homme, mais je n’étais pas à l’aise avec mon désir face à elle et c’était la première fois que je me retrouvais seul avec elle. Je m’installai dans le fauteuil, tandis qu’elle s’excusa ayant à faire à la cuisine. Elle revint au bout de quelques minutes. — Jean-Claude est allé chez un dernier client, il vient juste d’appeler pour son retard, me dit-elle, je vais peut-être devoir t’accompagner.— Très bien mais je peux prendre le bus aussi…— Arrête de dire des bêtises. Veux-tu un jus de fruit ?, dit-elle, en revenant dans le salon. Cela te donneras du tonus. J’acceptai et je l’entendis le préparer dans la cuisine. Elle revint avec un plateau sur lequel trônait un pot et deux verres. Elle le posa sur une petite table, et ce fut ma première surprise, je découvris, dans le décolleté de son chemisier assez ouvert, ses seins qui pendaient. C’était la première fois que je les voyais d’aussi près ! J’en fus ému, et je dus rougir. Tout en restant penchée, sans penser à se cacher, bien au contraire, elle remplit mon verre. Elle n’ignorait pas mon trouble, comme elle me le dit plus tard. Et elle s’installa face à moi dans le canapé. Je n’osais plus la regarder. Des tas de pensées me bousculaient l’esprit. — Eh bien, tu n’es pas bavard aujourd’hui ! Est ce moi qui te fais peur ? Il est vrai que Jean-Claude et moi parlions beaucoup de nos exploits sur le terrain, et cela l’amusait. Mais là, j’étais bloqué par la vue de ses seins blancs qui ...