Une fièvre de cheval
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
A dormir debout,
Je ne devais pas sortir de chez moi, car la fièvre me clouait au lit. Après moult cachets et une bonne sieste, elle était tombée. Je me dis que je pouvais passer chez ma copine, qui est aussi ma maitresse, pour la crapuler à l’improviste. Rentrant sans bruit avec mes clés dans son appartement qui est deux étages au-dessus, je vis des vêtements d’homme sur la table du salon. Dans la sacoche je vis des papiers qui me renseignèrent. C’était un voisin célibataire au-dessus. Il avait dû descendre pour un match de foot et finalement il avait préféré un match de foutre. Depuis le temps que ma copine en avait envie, elle le trouver très classe et musclé. Je passais assez facilement sur le balcon pour mater dans sa chambre, je sais que ma copine laisse toujours la porte-fenêtre entre ouverte. Je vis ma copine, quasiment nue accroupie au pied de son lit et l’homme allongé sur le dos, ses jambes pendant sur le côté. Son sexe se dressait, raide, luisant. Aussi est-ce pour cette raison que je vis ma copine démarrer sans hésiter une énergique branlette, bientôt complétée d’une fellation. Je fus presque jaloux de la gourmandise qu’elle montrait avec cet homme. Je vous assure que de voir ma maîtresse masturber d’une poigne énergique la bite d’un autre homme, la voir avaler le membre, faire aller et venir ses lèvres en un anneau parfait, a de quoi m’émouvoir très profondément. Je ne pouvais, de mon poste d’observation, que constater qu’il était sans conteste autant membré que moi, même plus. ...
... Je bandais seul de mon côté, comme un salaud de voyeur. Je m’étonnais moi même qu’elle ait cette patience avec ce type ! Mais à y bien regarder je m’aperçus que ma copine n’avait aucunement besoin de se forcer. Durant toute cette période, ils n’avaient cessé de parler. Sans doute avait-il besoin de l’excitation des mots pour bander et ma copine le savait, car elle joua le jeu de l’impudeur avec une franchise qui m’étonna. Je ne vous relaterai pas ici l’intégralité de leur conversation, car d’où j’étais situé, il me fut impossible de tout entendre, mais seulement quelques propos saisis ici et là. - Tu es quand même une sacré salope ! - Et ça ne te plais pas ? - Si ! Mais ! Tais-toi…suce moi ! Tu aimes ça sucé les bites, ça se voit. Tu as dû en sucer un paquet, hein ? - Tu m’as dit de me taire. Tu trouves que je suce bien ? C’est qu’on m’a bien appris. - Qui t’a appris ? - Je ne sais plus. Comme tu dis, j’en ai sucé plusieurs, des grosses et longtemps, et ça m’a, à chaque fois, fait mouiller comme une salope ! - Oh ! Oui ! penche-toi encore, comme ça, j’aime voir tes nichons pendre. Ils m’excitent tes nichons. Ils sont gros, avec des seins gros comme les tiens tu as du en faire bander des mecs, tu as dû te les faire tripoter… C’est des beaux nichons de belle salope! Je ne sais lequel des deux s’excitait le plus de ce dialogue. Lorsque le sexe de son voisin fut dressé, ma copine le contempla un court instant, fière d’elle, puis sans hésiter, monta sur le lit et enjamba le corps ...