Une fièvre de cheval
Datte: 22/10/2018,
Catégories:
A dormir debout,
... complètement vidée, mais à chaque fois, après un répit elle avait repris son va-et-vient. D’abord lentement, puis très vite de façon hystérique, comme si à chaque fois, il avait fallu y aller plus vite, plus fort. Et en effet, chaque orgasme était plus fort que le précédent. Une heure plus tard, elle était en sueur, ruisselante, mais plus déchaînée que jamais. Je l’avais déjà vu jouir plus de dix fois et la bite de ce type était toujours aussi raide, toujours aussi droite. Il est increvable ce mec. Visiblement crevée, à bout, elle se souleva alors de dessus le membre et se retourna, pour le chevaucher à nouveaux, mais de face cette fois. Curieusement, dans cette position elle adopta un rythme plus lent, comme si après la fureur des premiers orgasmes elle voulait mieux goûter, pour mieux apprécier la bite sur laquelle elle s’empalait. Cette position devait être aussi plus propice aux confidences car je l’entendis lui dire: - Oh salaud, comme tu m’as faite jouir, avec cette grosse bite je l’adore ! Comme elle est raide, et comme je la sens bien. Si tu savais comme c’est sensible maintenant. Il sourit et lui dit : - Tu as le feu à la chatte ! - Oh oui, tu me l’as tellement ramonée ! Hum ! J’adore ça. Depuis presque deux ans je suis devenue accro, limite pute. Avec mon copain, c’est de la rigolade à coté de ta bite. (voilà qu’elle parle même de moi ma copine). Pas de quoi me redresser. - Ah de ce point de vue là, pas de doute. Alors ! Profites en bien. Enfiles toi bien, ...
... empales toi. - Oui ! C’est bon ! Comme je la sens, ah, je crois que je vais encore jouir ! Elle se crispa, je vis tout son corps vibrer en même temps qu’elle gémissait d’une voix chevrotante. Le type en parut surpris lui dit : - Tu es quand même une sacré bonne baiseuse ! - Pourquoi ! Aimer la queue à ce point c’est rare. Ça te déplaît ? - Bien sûr que non. Mais, si ton amant en titre te voyait ! - Ce n’est pas un jaloux, et puis, je ne lui appartiens pas, répondit-elle en souriant. Et en plus il viendrait certainement me le mettre par derrière. - C’est bien ce que je disais, tu es vraiment une salope ! Ma copine ne répondit pas, cette discussion semblait l’ennuyer. Pour couper court elle se souleva et se retourna comme la première fois, le chevauchant en lui tournant le dos. Elle s’assit sur le ventre de son voisin. La bite se dressait juste entre ses cuisses, ça avait quelque chose d’érotiquement salaud. Elle l’empoigna et se mit à la branler énergiquement, si fort que j’entendis le mec gémir. La queue était toute dressée, striée de grosses veines gonflées et le gland en était violet tant il était tendu. - Je vais te la faire cracher ! lui dit-elle. - Déjà ! - Tu exagères ! Depuis le temps que je te la suce et que je suis dessus. - Et alors, c’est ce que tu aimes, non ? - Oui, mais j’ai des courses urgentes à faire. Si je ne te fais pas cracher au poignet, dans une heure je suis encore dessus. - Plains-toi ! Allez. Mais ses mots n’allèrent pas plus loin car elle le branlait ...